Joachim Véliocas analyse les comptes semestriels de l’Agence française de développement, suite à la demande Macron :
“Conformément aux exigences du Président de la République de doubler les engagements de l’AFD vers l’Afrique continentale“
Joachim Véliocas analyse les comptes semestriels de l’Agence française de développement, suite à la demande Macron :
“Conformément aux exigences du Président de la République de doubler les engagements de l’AFD vers l’Afrique continentale“
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Jipeo
Si on veut éviter, freiner, stopper, inverser les vagues migratoires catastrophiques il faut que les pays dont procèdent nos “visiteurs” se développent et ils n’y arriveront pas tous seuls. L’AFD participe à la stabilité chez nous. Donc oui, il lui faut des moyens.
Pierre-Jean
Jipéo vous avez tout faux : ce n’est pas l’aide de l’AFD qui permettra de développer ces pays. Le risque est bien davantage d’alimenter un puits sans fonds avec les pauvres des pays riches, comme les “gilets jaunes” par exemple, qui donnent aux riches des pays pauvres. Comme l’a dit un certain Raymond Cartier je crois, il y a bien longtemps, “la Corrèze avant le Zambèze” : et il avait bien raison.
Jean Marie Toulet
Je partage complètement votre point de vue.
Notre devoir est d’aider les pays pauvres à se développer afin d’assurer le bien-être de leurs populations et d’éviter l’émigration de masse.
L’émigration de masse ne satisfait personne.
Les émigrés déracinés, souvent sans travail, assistés, humiliés n’y trouvent pas leur compte et certains se réfugient dans l’islamisme.
Les pays « d’accueil » sont submergés et déstabilisés.
Pour tous, la meilleure protection sociale est le plein emploi.
Seul le travail permet à chacun de vivre dignement et librement.
Certes, il faudrait certainement plus de discernement dans le choix des destinataires de l’aide.
Je ne suis pas sûr par exemple que la Turquie ait besoin et mérite notre aide.
Par contre des pays comme Madagascar s’enfonce dans la misère et aurait besoin de d’avantage que nos pauvres aumônes…