Chirurgien urologue libéral à Grenoble, Gérard Maudrux a présidé pendant 18 ans et jusqu’à la fin de 2015 la Caisse autonome de retraite des médecins de France, la CARMF. Il tient un blog non-conformiste, dans lequel il dénonce notamment le tout-vaccinal, alors qu’il existe des traitements. Invité de l’émission de Bercoff sur Sud radio, il affirme que
“certains interviennent sur l’OMS pour qu’on ne parle pas des traitements !”
Alors pourquoi le gouvernement ne parle pas de ces traitements et que tout est orienté uniquement vers la vaccination ? Rappelons quelques articles de presse, que nous avions déjà oubliés :
- mars 2017: Macron, candidat de l’industrie pharmaceutique?
- janvier 2018: L’industrie pharmaceutique rappelle à Macron ses promesses
- juillet 2018: Une trentaine de PDG de la pharmacie mondiale reçus par Macron
ROY
à lire d’urgence le dernier numéro de “faits et documents ” sur la fabrication de “micron” par nos puissances financières ; le blog de MAUDRUX cite une urgentiste roumaine qui n’a pas eu de décés dans son hopital en n’appliquant pas les consignes “officielles”.à lire aussi le livre du courageux DR THEILLIER ,ancien responsable du bureau médical de LOURDES , “une autre médecine est possible” à mettre dans les mains de tous les futurs carabins.
DUPORT
Non seulement l’Ivermectine est efficace mais elle n’a pas d’effets secondaires néfastes, ce qui fait qu’on pourrait la prescrire et si par extraordinaire cela ne fonctionnait pas ce serait sans conséquences.
Mais on préfère laisser les gens chez eux sans soins !
F. JACQUEL
@DUPORT
Une boîte de 4 comprimés d’Ivermectine coûte 8,53 €.
Voici le justificatif pour ne pas l’employer. C’est le même justificatif que pour l’hydroxychloroquine qui coûte encore moins cher…
Le premier objectif de Bigpharma n’est pas de soigner l’humanité, mais de s’enrichir sur ses maladies.
ROY
Pas assez cher 10 ct le traitement complet en inde pour IVERMECTINE
AFumey
une citation de Martin Hirsch, cité par S. Debusquat dans son excellent ouvrage “J’arrête la pilule”:
“La problématique des conflits d’intérêts n’est pas à la marge du système de santé. Elle n’est pas une question marginale. Elle n’est pas une question de déviance […] elle est centrale. Y répondre ce n’est pas pourchasser quelques praticiens malhonnêtes, c’est modifier les équilibres structurels des relations entre les institutions publiques et privées.”