“A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines.” Léon XIII, Rerum Novarum
Alors rappelons-nous :
Célébrations le 8 mai: les Fêtes johanniques à Orléans et la fin de la seconde guerre mondiale.
le 8 mai 535: décès du pape Jean II.
Voir la chronique du 2 janvier
le 8 mai 590 : le pape saint Grégoire le Grand annonce la fin de la peste qui ravage Rome.
le 8 mai 1360 : signature du Traité de Brétigny entre la France et l’Angleterre.
Egalement connu sous le nom de traité de Calais, il est conclu au château de Brétigny, près de Chartres entre Édouard III d’Angleterre et le Dauphin Charles, fils du Roi Jean II de France. La France perd des terres au nord entre Calais et le Ponthieu ainsi que l’Aquitaine. Edouard III ramène la rançon de Jean II le Bon de 4 à 3 millions d’écus et renonce à revendiquer le trône de France. La guerre reprend 9 ans plus tard. (Voir les chroniques des 8 et 26 avril).
le 8 mai 1429 : le siège d’Orléans est levé par les Anglais.
Ils cèdent face à l’armée française commandée par sainte Jeanne d’Arc. Celle-ci, en la fête de Saint Michel, patron de la France, le 8 mai 1429, délivre miraculeusement Orléans. Puis, ce sont les victoires de Meung, Beaugency, Patay, les prises de Troyes et de Châlons-sur-Marne et enfin le sacre du Dauphin à Reims.
Orléans est assiégée depuis le mois d’octobre 1428 par l’Anglais Jehan Talbot. La cité est le dernier point de résistance des Français sur la Loire, à la frontière entre la partie du Royaume tenue par les Anglais et le Royaume de Bourges de Charles VII.
Les grands du Royaume d’abord très critiques ont été subjugués par la facilité avec laquelle elle est parvenue à pénétrer dans la ville pour la ravitailler. Jehan de Brosse, maréchal de Sainte-Sévère, le duc Jehan II d’Alençon, Raoul de Gaucourt, sénéchal du Dauphiné, Étienne de Vignolles plus connu sous le sobriquet de « La Hire », l’Amiral Louis de Culant, Jehan Poton de Xaintrailles et Gilles de Rais, la suivent alors aveuglément et la ville, tenue alors par le Comte Jehan de Dunois dit le « Bâtard d’Orléans » est délivrée.
Pour épargner des vies et le sang des soldats Sainte Jeanne d’Arc a écrit avant la bataille cette lettre au roi d’Angleterre :
« Roi d’Angleterre et vous, duc de Bedford qui vous dîtes régent de France, faites raison au Roi du Ciel de son sang royal. Rendez au Roi, par la Pucelle qui est envoyée par Dieu, le Roi du Ciel, les clés de toutes les bonnes villes que vous avez prises et violées en France. Elle est venue par Dieu réclamer le sang royal. Elle est toute prête à faire la paix si vous lui voulez faire raison en quittant la France ! Vous ne tiendrez pas le Royaume de Dieu le Roi du Ciel. Mais le tiendra le Roi Charles, vrai héritier car Dieu, le Roi du Ciel le veut. »
Et comme les Anglais ne répondent pas, elle marche sur Orléans. Avant la bataille, elle entend la messe et communie chasse les prostituées de l’armée et demande à la troupe de se mettre en paix avec Dieu. Son écuyer, Simon Beaudcroix déclare au procès de réhabilitation :
“Je me rappelle fort bien que Jeanne recommanda à tous les hommes de l’armée de se confesser, de mettre leur conscience en ordre; de prier que Dieu leur vienne en aide et qu’avec son aide ils obtiennent la victoire.”
Jeanne d’Arc à Orléans par Jules Eugène Lenepveu, peint entre 1886–1890
« Au milieu de la division intérieure qui déchire un même peuple séparé en Armagnacs et Bourguignons, au cœur de la guerre civile qui fait du pays une proie plus facile et déjà largement convoitée par l’étranger, une jeune paysanne se présente et , entre sa seizième et sa dix-neuvième année, en moins de trois ans, elle rend à une nation son âme, son unité. »*
* Ceux qui croyaient au Ciel de Geneviève Esquier (Ed. de l’Escalade, page 176).
le 8 mai 1684 : décès de Henry Du Mont.
Henry de Thiers, dit Henri Du Mont, meurt le 8 mai 1684 à Paris. D’origine flamande, il est organiste de l’église Saint-Paul, puis de la basilique Notre-Dame à l’âge de 19 ans, avant d’être claveciniste pour le Duc d’Anjou. La même année il publie son recueil de motets intitulé Cantica sacra, recueil majeur dans l’histoire de la musique française. Il devient Maître de la Chapelle Royale en 1663, et prend sa retraite en 1683. Durant sa carrière, il compose des œuvres essentiellement religieuses de musique baroque, en particulier près de deux cent petits motets à deux et quatre voix en cinq recueils qui restent l’archétype du motet français. Ses motets utilisent la basse continue, une technique encore rare à cette époque.
Ses cinq messes, dites Messes Royales, ont survécu jusqu’au milieu du XXe siècle (avant Vatican II), néanmoins, dans certains lieux de culte catholiques ou pendant les grandes fêtes religieuses, on peut encore entendre l’une ou l’autre des messes royales de Du Mont.
le 8 mai 1721 : élection du pape Innocent XIII.
Michel Angelo Conti est élu pape sous le nom d’InnocentXIII. Durant son pontificat, il subit l’invasion du duché de Parme et de Plaisance par Charles VI du Saint-Empire ; soutient Jacques François Stuart pour l’accession au trône d’Angleterre ; et lutte ardemment contre les Jansénistes en France
le 8 mai 1738 : vente de la vicomté de Turenne, paradis fiscal, à Louis XV.
La vicomté de Turenne est un bon exemple pour expliquer comment fonctionnait la France avant la révolution. Aujourd’hui, le jacobinisme républicain uniformisateur, le centralisme administratif et technocratique ont, sous prétexte de simplification et d’unité nationale, détruit des pans entiers de l’histoire de France, de la culture française. Si les Bourbons ont été les premiers à centraliser ce fut toujours fait dans le respect de l’histoire et des particularités de chaque province. Les Rois de France parlaient de « Nos peuples de France ». La vicomté de Turenne permet ainsi de comprendre ce qu’était la France avant que ne passe le rabot révolutionnaire. S’étendant de Sarlat à Neuvic, comptant 1200 hameaux, 105 paroisses du Limousin et du Quercy et pas moins de sept villes fortifiées : Argentat, Beaulieu, Collonges, Martel, Meyssac, Saint-Céré et Turenne, la vicomté de Turenne compte 150.000 habitants au début du XVIII° siècle.
Fonctionnant pendant huit siècles, comme un état quasi-souverain la vicomté bénéficiait de nombreux privilèges.
Les vicomtes soutenaient que l’hommage qu’ils rendaient au Roi n’était pas un hommage lige. Jusqu’au XIII° siècle, ils battent monnaie, acceptée en Limousin, Périgord et Quercy. Ils peuvent concéder des fiefs nobles à des roturiers ; ils possèdent des droits de souveraineté et d’amortissement sur les francs-fiefs ; perçoivent des droits de timbres ; créent des foires, des consulats ; … Ces droits sont confirmés par des documents officiels de Philippe le Hardi en 1168, Jean le Bon en 1350, puis Charles V, Charles VII, Louis XI, Louis XIII. Les vassaux des vicomtes sont exemptés de la taille royale et du logement des gens de guerre. Cette situation attire dans la région de nombreuses familles riches et entreprenantes.
L’anachronisme féodal de la Vicomté disparaît finalement en 1738 lorsque Charles Godefroy de La Tour d’Auvergne, duc de Bouillon, Vicomte de Turenne, vend tous ses droits au Roi pour payer ses immenses dettes, ses Etats lui ayant stupidement refusé un secours. Le Roi Louis XV lui paie la somme de 4.200.000 livres.
le 8 mai 1769 : bataille de Ponte Novo.
Début de la bataille, voir la chronique du 9 mai.
le 8 mai 1672: décès de M. de Tréville, Lieutenant Capitaine de la compagnie des Mousquetaires.
En 1616, à l’âge de dix-sept ans, il renonce au négoce pour les armes et part pour Paris, où il s’y engage comme cadet-gentilhomme dans les Gardes-françaises. Il prend part au siège de la Rochelle, de 1627 à 1628, où il est blessé. Tréville, qui a toute la confiance du Roi Louis XIII, devient en 1634 Capitaine Lieutenant de la compagnie des Mousquetaires. Eloigné par Richelieu, suite à l’affaire Cinq-Mars, le Roi le rappelle à la mort du ministre et lui rend le commandement de la compagnie des mousquetaires. Quelques mois plus tard, le 14 mai 1643, Louis XIII meurt à son tour. Mazarin, ne pouvant le renvoyer, dissout la compagnie des Mousquetaires, en 1646.
le 8 Mai 1779 : Louis XVI abolit par ordonnance, le servage, le droit de suite et affranchit tous les « mains mortables »
Les serfs des domaines royaux, ainsi que les hommes de corps, les « mortaillables » et les « taillables » n’existent donc plus. Déjà c’est le Roi Louis XVI qui promulgue, dès 1776, un édit condamnant fermement la possession d’esclaves sur le territoire français. Trois ans après avoir aboli l’esclavage (chronique du 4 février)
le 8 mai 1794 : exécution des 28 fermiers généraux à Paris, dont Antoine Lavoisier.
Antoine Laurent de Lavoisier naît et meurt à Paris. Il est généralement considéré comme le créateur de la chimie moderne. Il énonce la première version de la loi de conservation de la matière. Il identifie et nomme l’oxygène en 1778. Il participe à la réforme de la nomenclature chimique, découvre le rôle de l’oxygène dans le phénomène de la combustion ; démontre le rôle de l’oxygène dans la respiration animale et végétale mais aussi dans la formation de la rouille.
Alors que beaucoup se lèvent pour dénoncer la perte pour la France que constituerait sa mort, Fouquiet Tinville rétorque :
« La république n’a pas besoin de savants ! »
le 8 mai 1920 : la fête de sainte Jeanne d’Arc devient la fête nationale en France.
Canonisée en 1920, la même année que sainte Marguerite Marie Alacoque, la fête de Sainte Jeanne d’Arc est retenue, sur proposition de Maurice Barrès, comme fête nationale. La loi retient le second dimanche de mai.
le 8 mai 1945 : capitulation sans condition de l’Allemagne.
Après une première reddition signée le 7 mai 1945 à Reims par le colonel-général Alfred Jodl, la Seconde Guerre mondiale prend fin en Europe, le maréchal Keitel signe l’acte politique de la capitulation sans condition. C’est une véritable guerre de 100 ans qui prend fin entre les peuples germaniques et la France.
le 8 mai 1945: répression des émeutes algériennes, un mensonge d’Etat.
Si l’on en croit les journaux, les médias, les livres de pseudo histoire, une « manifestation » se produit à Sétif aux cris de “Istiqlal” (“indépendance”) et de “libérez Messali” (Messali Hadj, leader du Parti Populaire Algérien, arrêté et déporté au Gabon). Un scout brandissant le drapeau algérien aurait été abattu par la police française. Les manifestations se seraient étendues alors à des villes voisines du Constantinois, faisant en quelques jours 103 morts dans la population européenne et près de 10 000 morts par la répression.
Un drame algérien d’Eugène Vallet, aux éditions : Les grandes éditions françaises montrent une toute autre vérité des émeutes de mai 1945.
Les faits ont été déformés sur le massacre de Sétif. La manifestation est en fait une émeute qui déferle sur la ville en assassinant de façon atroce tous les Européens rencontrés. Les forces de l’ordre qui arrivent n’ont d’autre solution que d’ouvrir le feu. Et Sétif n’est que l’arbre qui cache la forêt car les trois départements s’embrasent en même temps et non pas après Sétif. Partout des Européens sont assassinés. Il y a bien un plan de révolte, une préméditation de l’action qui est prouvée par la quantité d’armes des « manifestants », par leurs tentatives de couper les routes et d’isoler les grandes villes.
L’insurrection ayant échoué, les indépendantistes, relayés par les médias français anticolonialistes vont inverser l’origine de la violence ; faisant passer les assassins pour des victimes. Depuis, la propagande du gouvernement algérien, largement reprise par les médias et l’éducation nationale française parle de chiffres de morts extravagants ; ces chiffres oscillent entre 15.000 et 45.000 morts algériens. Comme si les documents officiels de 1945 ne permettent pas de présenter la vérité. 0n lit partout que, “selon les autorités françaises”, ces événements auraient provoqué la mort de soit 15 000 Algériens, soit 45 000, selon les autorités algériennes… Les émeutes et la répression se sont déroulées du 8 au 22 mai 1945, donc durant quinze jours : l’armée, la police, la gendarmerie françaises, les milices armées ont-elles pu faire entre 1000 et 3000 tués par jour, c’est-à-dire dix ou vingt fois plus par jour que durant la guerre d’Algérie elle-même ?
Il est possible aujourd’hui de consulter le service historique des armées qui a publié l’essentiel des pièces il y a déjà vingt ans ; de lire Roger Vétillard qui a repris dans son étude de 2008 toute ces preuves ; ou encore de relire l’historien Jean-Louis Planche.
Relisons Eugène Vallet :
« Les Français ont eu à faire face à deux foyers actifs d’insurrection, couvrant près de 6.000 kilomètres carrés, en deux régions à population très dense, où l’émeute — les constatations faites l’ont démontré — n’avait même pas l’excuse de la misère. Presque simultanément, se sont produits sur tout le territoire, entre Bône et Saïda, c’est-à-dire sur 900 kilomètres de distance, des remous démontrant la préparation d’une action offensive qui n’était, du reste, un secret pour personne. »*
* (Un drame algérien d’Eugène Vallet, Ed : Les grandes éditions françaises, page 8)
« Les drapeaux doivent être retirés. Devant l’hôtel de France à Sétif, un policier tente de s’en emparer. C’est le signal de la bagarre, des coups de feu éclatent ; les manifestants se répandent dans la ville, assaillant à coups de feu, de couteau ou de bâton, les Européens rencontrés. On entend : “Tuons les Européens”… » […] « Le mouvement insurrectionnel, n’a pas été l’œuvre de faméliques mais de fanatiques et de racistes. Le mouvement n’avait pas pour but initial la guerre sainte, mais cet argument fut employé par les meneurs pour décider la masse et la fanatiser…» Écrit alors le général Henry Martin, qui commande le 19e corps d’armée à Alger, dans son rapport.
Relevées en 1945, les pertes côté européen sont, selon les sources, de 102 à 113 victimes, avec le double de blessés. S’y ajoutent les quelques 800 musulmans francophiles assassinés par les émeutiers. Côté musulman, le commandement militaire dénombre alors 2 628 tués; l’Humanité cite à l’époque le chiffre de 6 000 sans aucune preuve ! C’est la radio du Caire qui, la première, parlera de 45 000 victimes, bilan qui sera par la suite officialisé par le régime algérien. Plus on s’éloigne des événements, plus le chiffre gonfle : en 8 mai 2003, le quotidien officiel du parti gouvernemental, El Moudjahid, cite sans vergogne le chiffre de 100 000 !
Quand on sait que le gouverneur général de l’Algérie, Yves Chataigneau, un gaulliste, surnommé par les pieds-noirs « Mohammed » en raison de ses sympathies musulmanes, agit sous les ordres du ministre de l’Intérieur, le socialiste Adrien Tixier ; et que le ministre de l’Air, responsable des ordres donnés à l’armée de l’air, est le communiste Charles Tillon…peut-on dire que la répression est si terrible ? La plus part des condamnations des coupables sont ensuite cassées par Paris. D’où la conclusion d’Eugène Vallet :
«On affirme que sur 120 condamnations environ, prononcées à ce titre, 25 à peine ont été suivies d’exécution. Enfin est arrivée l’amnistie générale, qui couvre à peu près tous les coupables et leur permet de revenir, libérés et insolents, parmi leurs victimes et leurs complices. Et comme si de tels défis au bon sens et à l’équité n’étaient pas suffisants, on intensifie à plaisir les campagnes de calomnies contre les martyrs de l’hécatombe des 8 et 9 mai 1945. La presse et la T.S.F. propagent les mensonges les plus odieux sur des faits dont l’Administration a empêché la libre divulgation.
[…] Le scandale, ce n’est pas le massacre des Français isolés et surpris, sans défense, des femmes martyrisées et des petits enfants lacérés de coups de couteaux. Le scandale, c’est la répression trop brutale de l’émeute. Nos soldats ont été des bourreaux…Ce renversement, au moins audacieux, des rôles, a évidemment pour but de tromper l’opinion publique dans la Métropole. Mais il crée une situation intolérable en Algérie, où tout le monde est fixé, même la masse indigène, qui est étonnée, aujourd’hui encore, que le châtiment n’ait pas été plus exemplaire. »**
** Un drame algérien d’Eugène Vallet, Ed : Les grandes éditions françaises, pages 263 et 264.
[…] « On chasse les Français d’Algérie. C’est là un fait qui ne peut être nié et qui met en cause les destins mêmes de la France en Afrique du Nord. Il est profondément attristant d’enregistrer cette constatation qui sera, demain, une réalité poignante. Le mouvement est commencé. Il s’accentue rapidement. L’Administration s’en est aperçue, puisqu’elle a essayé de freiner les départs, en refusant d’approuver, pendant un temps, les ventes de propriétés françaises aux indigènes. Mais elle continue à favoriser ceux qui, malgré tout, voulaient rester. J’attribuais les mesures qui précipitent la catastrophe.
Les Pouvoirs publics n’ont pas réagi lorsqu’il en était temps encore, lorsqu’ils ont été prévenus de l’imminence du drame qui se préparait. Or, ils avaient été largement alertés par de nombreux rapports officiels de fonctionnaires de tous ordres, y compris les chefs de gendarmerie et par des appels pressants d’élus.
Le drame accompli, l’Autorité, nous l’avons dit a :
couvert d’une protection non déguisée les émeutiers échappés, aux constatations des flagrants délits ;
gracié les coupables arrêtés et condamnés par les tribunaux militaires ;
prononcé, récemment, une amnistie à peu près générale, qui a permis aux perturbateurs de rentrer dans les douars la tête haute, de reformer les groupements d’assaut, genres « Médersas », « Amis du Manifeste » ou Scouts, qui avaient été dissous, et de reprendre leur programme d’hostilité et de menaces de mort contre l’élément français, témoins ces papiers répandus dans les campagnes en avril 1946, ou jetés dans les boîtes aux lettres des villes :
« Français, préparez vos valises ou vos cercueils !… »
Et comme si l’Algérie française était coupable de ne pas succomber sous l’action d’un tel régime, le législateur de France y ajoute la certitude d’une asphyxie totale ; la noyade des Français sur les prochaines listes électorales, par l’inscription de nouveaux contingents d’électeurs indigènes, tels que les titulaires de certificats d’études primaires ! Quelles responsabilités, dans l’Histoire, prennent aujourd’hui nos dirigeants !… » 22 AOUT 1946.***
*** Un drame algérien d’Eugène Vallet, Ed : Les grandes éditions françaises, pages 271 272 et 273.
le 8 mai 2002 : attentat de Karachi.
Un attentat à la voiture piégée commis devant un hôtel de Karachi (Pakistan) coûte la vie à 14 personnes, 11 Français et 3 Pakistanais (plus douze blessés).