Le chef de la diplomatie turque, Ahmet Davutoglu, a mis en garde les pays qui s'opposent à son entrée dans l'UE en soulignant que cela sème "le doute" dans l'esprit des Turcs et freine les réformes dans le pays :
"Les voix négatives que nous entendons toujours de la part de certains pays de l'UE répandent le doute parmi nos concitoyens et nuisent à nos efforts pour poursuivre les réformes".
Il a cité la liberté religieuse ou d'expression, l'abolition de la peine de mort ou l'autorisation d'émissions de radio en kurde. Voilà que cela va être de notre faute si la Turquie est un Etat totalitaire.
JLA
Déjà des menaces à peine voilées,ça promet.
Marie
Donc les turcs ne feraient les réformes que pour intégrer l’UE ? que vaudraient ces réformes s’il n’y a pas d’adhésion de tout un peuple à l’esprit de ces réformes. Elles pourraient être réformées après l’adhésion pour recoller à l’esprit de cet Etat musulman.
PK
C’est bien : continuons à semer le doute.
Nous délivrerons nos frères chrétiens quand on lancera la prochaine croisade : on part de Saint-Denis (autant commencer par faire le ménage chez nous…), un crochet par le Kosova, puis Constantinople et enfin Jérusalem.