Le site de Mediapart a récemment mis en ligne deux articles d’un blogueur s’intéressant au droit pénal (voir ici et là). On y découvre avec effroi que, pour une affaire aussi grave que l’affaire d’Outreau, dans un jugement d’assises, on peut obtenir à quelques minutes d’écart des réponses tout simplement opposées comme on le voit ci-dessous (les articles contiennent d’autres exemples):