On se souvient qu’un athée italien avait mis en prêtre en procès, l’accusant d’avoir enfreint deux lois, l’une sur l"‘abus de croyance populaire" et l’autre sur l’usurpation d’identité en affirmant que Jésus avait existé. Le juge italien a classé sans suite la plainte et a également demandé au parquet d’ouvrir une enquête pour déterminer si Cascioli (celui qui croit fermement -et paradoxalement- que Jésus n’a jamais existé…) s’est éventuellement rendu coupable de diffamation. Ce classement sans suite laisse penser que le juge n’a sans doute pas voulu que l’on étale longuement dans les médias les moult preuves historiques de l’existence de Jésus-Christ, preuves plus nombreuses que celles laissées par Jules César (par exemple) !
M. Cascioli envisage de porter l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme. Au risque que cette dernière se fasse la porte-parole d’une vérité que certains européens amnésiques auraient aimé voir oubliée…
Anonyme
Attendons la réaction des médias qui auraient été certainement plus prompts à annoncer une décision de justice inverse…
pepe.x
je n’en ai jamais douter.
clintistoud
Ouf ! C’est vraiment rassurant ;)
nicole
Jules César ? 100-44 AVANT Jésus-Christ !