C’est le titre d’un article de Clicanoo, journal de l’île de la Réunion. Toute la journée d’hier, des m’zungus (blancs) ont été agressés. Une dizaine auraient été kidnappés. Les affrontements auraient fait deux morts dont un du côté des policiers et des gendarmes. C’est l’annonce de la présence du colonel Mohamed Bacar (renversé par des islamistes à Anjouan) à Mayotte qui aurait provoqué ces émeutes. Plusieurs centaines d’Anjouanais en situation irrégulière ont manifesté. Les choses ont dégénéré, les gendarmes tirant des grenades lacrymogènes, les manifestants répliquant à coups de jets de pierres. Vers 8H30 après une première charge des gendarmes, les manifestants ont bloqué la route nationale puis soudain, les m’zungus (blancs) ont été pris pour cibles. Une jeune femme a moto a été lynchée par une horde de manifestants et a dû être secourue in extremis par des Mahorais et la police est arrivée à ce moment là.
Puis la violence a atteint tout le centre ville, les manifestants renversant et caillassant les voitures conduites par des m’zungus. «La chasse aux blancs est ouverte» a témoigné un chef d’entreprise. A Cavani où se concentre une forte population d’étrangers en situation irrégulière, de petits groupes armés de manches de pioche de sabres de barres de fer agressaient systématiquement tout blanc circulant à leur portée.
Dans Présent, Alain Sanders rappelle que Mohamed Bacar est un officier formé en France, francophile, rétif à la dictature de l’islamiste chiite Sambi formé, lui, en Iran et en Arabie Saoudite. Ce qui n’a pas empêché la France de jouer Sambi contre Bacar. Mayotte la Française est le prochain objectif des islamistes grands-comoriens.
cosaque
Cette actualité illustre parfaitement le film “Fitna”. A qui le tour ?…
xango
avant-goût de futurs massacres
Serval
Cela illustre surtout l’incapacité de l’Etat à faire respecter l’ordre. Mayotte apparaissait ici ou là dans les journaux, souvent quand on parlait du Ministère de l’immigration et de ses résultats en reconduites aux frontières, les chiffres d’immigration clandestine pour ce territoire étaient alarmant, ce qui annonçait de tels évènements. Si les médias, de nature “humaniste” et “ouverte”, se permettent de relayer ce type d’information, c’est que sur place la situation doit être dix fois pire que celle présentée. M. ESTROSI avant de quitter son maroquin n’avait-il pas eu la faiblesse de remettre en cause le droit du sol concernant cette île, avouant par là l’importance du problème? Parler du droit du sang en 2008, quel affront à notre culture de terre d’asile, de patrie des droits de l’homme, vieille de … 2 siècles!
Nabulione
Quand on est en présence d’émeutiers armés de machettes et de barres de fer, on proclame la loi martiale. Ensuite, on tire après sommation sur les individus qui n’obtempèrent pas…
C’est le B A ba d’un maintien de l’Ordre efficace !
konan
La france n’a pas vocation à acceuillir toute la misere du monde. L’ile de Mayotte subit un accroissement de sa population trop rapide. Remettre en cause le droit du sol est legitime pour les Mahorais, car rappelons que les 3/4 des naissances dans les hopitaux de Mayotte concernent des meres en situation irreguliere. Cette remise en cause ne change rien pour les habitant deja francais et sera une execption…peut etre ettendu à la guyane… il faut oser poser le debat!