Charlotte d'Ornellas a traduit plusieurs passages d'une lettre de Heather Barwick, publiée dans The Federalist, dans laquelle la jeune femme, élevée par deux lesbiennes, s'adresse à sa "chère communauté gay" :
"« Je ne soutiens plus le mariage homosexuel », confie-t-elle, en précisant : « Non pas parce que vous êtes gay, je vous aime tant, mais en raison de la nature même de la relation homosexuelle. »
Pourquoi ? Parce que « cela promeut et normalise une structure familiale qui nous prive de quelque chose de précieux et de fondamental. On nous répète que nous n’avons pas besoin de ce que nous désirons naturellement et profondément. On nous répète que ça va aller. Mais ce n’est pas vrai, nous souffrons », explique-t-elle.
C’est après s’être mariée que la jeune femme a réalisé combien l’absence d’un père était douloureuse, « en voyant mes enfants aimer et être aimés par leur père ». « J’aime la partenaire de ma mère, précise la jeune femme, mais une autre femme ne remplacera jamais le père que j’ai perdu (…] C’est une chose étrange et troublante de vivre avec cette douleur profonde de rechercher un père, un homme, dans une communauté qui prétend que les hommes sont inutiles. »
Heather Barwick sait que les homosexuels peuvent être de bons parents. Elle sait aussi que « tant de causes peuvent faire souffrir les enfants dans une famille : divorce, abandon, infidélité, viol, mort… » mais « la meilleure et la plus belle structure familiale est celle dans laquelle les enfants grandissent avec un père et une mère », écrit celle qui refuse désormais que l’on impose sa souffrance à d’autres enfants.
Elle supplie cette communauté gay qu’elle « aime tant » et qui lui a « tant appris » d’entendre cette souffrance, dans un message poignant :
"Un grand nombre d’entre nous a peur de parler et de vous dire sa peine et sa souffrance parce que quelles que soient les raisons, vous n’avez jamais l’air de nous écouter. Vous ne voulez pas entendre. Si nous disons que nous souffrons d’avoir été élevés par des parents homosexuels, nous sommes ignorés ou catalogués comme haineux. Cela n’a rien à voir avec la haine du tout […] Je sais que vous avez vraiment été haïs et que vous avez réellement souffert […] J’étais là. J’ai pleuré et j’ai ressenti la colère directement dans la rue avec vous. Mais ce n’est pas moi. Ce n’est pas nous."
Jean Theis
“Vous avez été réellement haïs”. Mais qui perd son temps à haïr les homosexuels ? c’est encore un fantasme !
yr
Cette vie peut peut-être satisfaire deux partenaires mais les enfants de ces couples ont besoin d’un modèle masculin et féminin pour se construire, le Créateur de toute vie n’a pas prévu autre chose. C’est déjà bien douloureux pour les enfants de perdre un de leurs parents en cas de deuil ou de divorce.
Il faut être très égoïste et ne penser qu’à sa petite personne pour ne pas se soucier des enfants issus de ce mode de vie. Certains homosexuels people honnêtes ne disent pas autre chose et ce serait à considérer avant de faire des lois contre nature.
Les conséquences des dégâts au niveau des enfants pourront se faire sentir encore à la 2ème ou 3ème génération !
C.B.
Quel cri du cœur poignant.
Merci Heather pour cette interpellation courageuse et si délicate.
jejomau
Bof, les LGBT s’en moquent. Ce qu’ils veulent , c’est des jouets. C’est tout ce que ca signifie pour eux un enfant….
Florian
Les gens qui n’ont pas souffert d’un manque ne peuvent pas comprendre ! Ceux qui n’ont pas été agressés non plus !
Pour mieux appréhender les dégâts créés sur un enfant, ce documentaire est à voir absolument :
http://www.dailymotion.com/video/x2htnfh_child-of-rage-enfant-de-la-rage-vostfr_school
« Child of rage » passé en 1990 sur la chaîne HBO explique comment une petite fille de 6 ans, Beth Thomas, en était arrivée à torturer des animaux et violenter sexuellement son petit frère Jonathan. Le Dr Ken Magid, un psychologue clinicien spécialisé dans le traitement des enfants sévèrement abusés, explique que les enfants qui ont été tellement traumatisés dans leurs premiers mois ou premières années de leur vie, ne développaient plus aucun lien avec les autres enfants ou adultes. Ils étaient devenus incapables d’aimer ou de recevoir de l’amour. Ils n’avaient plus aucun remord.
[La jeune femme en question n’a pas subi d’agression sexuelle. L.T.]
Maurice
Cette jeune femme a bien du courage de faire cette déclaration, car elle va être décriée par la population gay, population dont elle fait partie !
Pourtant, prendre conscience de ce que nous disons depuis le début ne devrait-on pas l’entendre dans les merdias comme à chaque fois qu’une personne de cette population dit quelque chose ?
Louis
Et que dire des centaines de milliers d’enfants de par le monde, qui souffrent au sein de couples hétéros!
Alors du calme!
[La jeune femme répond à cette comparaison dans son argumentaire. L.T.]
MEIERS
Je pense qu’une personne ayant connu des enfants adoptés peut témoigner que tous ont connu à partir de la puberté une interrogation identitaire, à savoir une question par rapport à leur origine, leur famille naturelle etc. Cette question ne se pose pas pour les enfants biologiques d’un couple marié, mais même dans ce cas, et l’intérêt pour les recherches généalogiques le prouve l’homme souhaite connaître autant qu’il est possible son origine. Il s’agit donc d’un besoin profond de l’homme. Dans le cas d’une adoption classique où les parents naturels étaient décédés adopter un enfant n’était pas choquant puisqu’il s’agissait de substituer des parents de remplacement à une famille disparue. C’est toute la différence avec l’adoption par des couples homosexuels. Dans ce cas il s’agit d’adopter un enfant en planifiant d’avance la rupture avec la filiation biologique pour la remplacer par une filiation artificielle. Dans ce cas les enfants sont dégradés au rang de faire-valoir, de gadgets antidiscriminatoires, améliorant le statut social des parents. Les besoins humains des enfants ne sont absolument pas pris en compte. L’exemple de cette jeune femme le montre bien. Comme des enfants ont besoin de temps pour construire leur personnalité et acquérir de l’expérience, ce n’est qu’à l’âge adulte qu’ils peuvent formuler leurs besoins et s’opposer au lobby homosexuel. C’est une carence sociale que de ne pas avoir pu à temps formuler les interdictions permettant de les protéger.
ID
Comme disait le petit garçon croqué par Tesson en octobre 2012 lors des happenings Vita “vous pouvez me donner tous les papas que vous voulez, ça ne me fera jamais une maman”.
Cqfd