D’après le Figaro, la Chine populaire emploie 20.000 "cyberpoliciers" voués à traquer toute information ou opinion non conforme :
Le chiffre de 20 000 à 50 000 policiers rivés à l’écran 24 heures sur 24 a pu paraître exagéré jusqu’à ce que la municipalité de Pékin annonce la couleur cet été : elle recherchait 4 000 diplômés de l’université pour en faire des cyberagents chargés d’éliminer «les informations malsaines» dans la seule capitale chinoise.