Chirac a déclaré mardi faire "confiance à la présidence allemande" prévue au premier semestre 2007 "pour lancer à nouveau le train" de la Constitution européenne "dans la bonne direction". "Dans les 18 mois qui iront de la présidence allemande à la présidence française" au deuxième semestre 2008, "il faudra arriver à des décisions", a prévenu la chancelière allemande Angela Merkel :
"Nous sommes d’accord pour dire que la question du traité constitutionnel reviendra à l’ordre du jour pendant la présidence allemande, après la pause de réflexion".
Berlin veut conserver le traité constitutionnel actuel. Chirac a déclaré qu’"Il n’y avait naturellement pas de plan B", en dénonçant le "mensonge" de ceux qui en France ont "incité nos compatriotes à voter non" :
"Nous sommes maintenant dans une certaine difficulté. Nous nous en sortirons naturellement".
Si c’est sans le peuple, ce ne sera pas naturel…
laetitiademahlreich
Et on aura encore le droit de dire NON ou pas? Il n’y a pas plus anti-démocratique que les démocrates.
Bob
Nous n’avons pas voté non pour avoir un plan B. Si c’était le cas il fallait nous proposer de choisir entre deux plans.
Nous avons dit non, c’est tout. Et nous aimerions qu’il en soit tenu compte.
Ad Jesum Per Mariam
Et il existe d’autres solutions, sulement elles sont bien trop démocratiques pour M. Chirac et les autres bandits de l’UMPS:
http://www.pourlafrance.fr/charte.htm
C’est tt de même une belle or…. car il nous prend vraiment pour des imbéciles. NON M. Chirac si nous avons voté non c’est parceque NOUS en avons décidé ainsi.
Ingomer
Effectivement, il n’y a pas plus anti-démocrates que les démocrates” et particulièrement en France… Mais cela s’explique par la nature même du régime jacobin en place, conçu – depuis l’origine – comme une arme de guerre contre l’Eglise, le christianisme et le Règne social de Notre Seigneur Jésus-Christ. Si le peuple vote mal, on le fait revoter jusqu’à ce que, las, il vote ce qu’on lui dit de voter. Et s’il persite à mal voter, on trafique les modes de scrutin pour écarter de la représentation dite “nationale” le ou les partis ne rentrant pas dans le moule.