L’ancien patron de l’Assemblée des chambres françaises de commerce et
d’industrie (ACFCI), Jean-François Bernardin, a annoncé sa démission du Conseil économique, social et
environnemental (Cese), après sa décisio d'irrecevabilité. Il déclare à La Croix :
« On
se ridiculise et on insulte les 700 000 pétitionnaires que l’on balaie
d’un trait de plume, alors que l’on aurait pu au moins recevoir les
représentants en séance plénière. Au-delà des opinions de chacun, il
s’agit de la première pétition qui rassemble autant de monde dans notre
pays ».
Il dénonce un « choix purement politique » et la propension « au politiquement correct » des membres de cette institution, « tellement contents d’être là au point de refuser de prendre des décisions qui peuvent déplaire ».
« il y avait autant de pour que de contre. Cela méritait un débat. Le
Cese est une excellente idée, mais son mode de fonctionnement est
totalement dépassé. Avec de telles décisions, il se déconsidère. C’est
pourquoi je préfère partir. »
mère de 6 enfants
il reste des hommes engagés qui ont le sens de l’Honneur!
aleks
Etrange phénomène en voie de disparition.
G
Quelle chance pour Hollande. Il va pouvoir le remplacer par un syndicaliste enseignant favorable à la dénaturation du mariage !
Au lieu de démissionner, Jean-François Bernardin aurait dû organiser au sein du CESE la résistance – ou du moins la contestation – à la décision de Delevoye.
Philippe Brillot devrait tenir, avec Jean-François Bernardin, Franck Meyer, porte parole du Collectif des Maires pour l’Enfance, une conférence de presse commune.
Soleo23
Bravo ! Courage et Espérance. 700.000 signataires sont à vos côtés.
jejomau
On peut écrire au CESE pour dire tout le bien qu’on pense de ces “racailles” en col blanc : http://www.lecese.fr/contact
Ernest
C’est bien mais c’est dommage il laisse la place aux idéologues.
Catherine Rouvier disait que les maires cathos et de bonne volonté qui refusent le mariage gay ne doivent pas démissionner parce qu’ils laissent la place aux élus sans scrupule.
Olivier M
Il a raison, le CESE se déconsidère totalement.
Mais le problème c’est que le CESE s’en contrefiche: son objectif était d’étouffer la pétition la plus énorme qui ait jamais eu lieu.
Et regardez la presse, les chaines info, etc. Rien, pas un mot, aucun reportage, à peine un entrefilet par ci ou par là…le silence. Total. Comme si de rien n’était.
Bienvenue en dicature merdiatique.
Bienvenue dans la vie totalitaire du monde anti-catholique français; cette coalition des intérêts mondialistes et maçonniques avec l’anticléricalisme le plus soviétique est à l’oeuvre.
Oeuvre démoniaque, cela va sans dire…
clarina
Aaarrgh ! Trop nulle la démission, il était dans la place ! Pas malin de laisser un trou, il nous faut occuper les bastions, nom d’une pipe! Pleutre!
stephe
Il faut s’accrocher aux places car rien ne leur fait plus plaisir au gouvernement
que le départ des esprits libres.
Soleo23
Comportement exemplaire ! Mais ce n’est pas grave en comparaison, de ce qui nous attend. La guerre civile semble se profiler à l’horizon. Comme Pie XII l’a prédit:”Cela ne se fera pas en douceur”. Et après ? Le Salut! Si Dieu le veut.
Clotilde
Bravo pour ce beau geste ! Si certains pouvaient s’en inspirer…
Jean
On peut écrire pour le féliciter à : [email protected]
Jardon
Pouvez-vous nous indiquer une adresse mail où envoyer nos félicitations et notre soutien à Monsieur Bernardin ?
Merci
majacquet
Tous mes respects Monsieur.
Esperanza
Bravo.
Mais quel dommage de laisser la place et le salaire libre pour un vendu
Mais bravo quand meme si il sait que de toute façon s est de la mascarade pure
nemo
Monsieur Bernardin on ne démissionne pas lorsqu’on a 700.000 français qui comptent sur vous !!
C’est Delevoye qui doit s’en aller …
Publicain
Une chose n’est pas clair, M Bernardin dit “« il y avait autant de pour que de contre.” et il est dit dans le compte rendu de délibération :”Délibération du bureau adoptée à l’unanimité”.
Il y a une incohérence…
Pour ce qui est de sa décision de partir, il faut reconnaitre qu’elle présente l’avantage de recueillir un écho médiatique et nous alerter sur des “dysfonctionnements”.
Le voir traiter de lâche est proprement insupportable. Il faut garder ces qualificatifs pour nos adversaires.
Son départ est certes regrettable, mais très courageux.
C’est peut être à chacun de nous d’œuvrer pour demander la démission du président du CESE.