Communiqué et lettre ouverte de Marie-Christine Arnautu, conseillère municipal de Nice, concernant la distribution du magazine Stylist, adressée au maire Christian Estrosi, suite à notre alerte sur le magazine Stylist :
Dans son édition du 9 novembre dernier (n° 197), le magazine féminin Stylist a cru bon de faire un dossier dont le caractère pornographique est évident. Les titres des trois articles qui le composent suffisent à se faire une idée de la teneur du dossier : « Chaud devant. Il n’y a pas qu’en poussant les radiateurs à fond que vous pouvez faire monter la température », « Hotel Californication, Cum as you are. Et si on s’inspirait des décors de films porno pour choisir notre prochaine destination de vacances ? » et « Fauteuil interdit aux moins de 18 ans. La chaise de Le Corbusier s’incruste dans le porno ». Le tout à grand renfort d’images particulièrement suggestives, vulgaires, voire scabreuses.
L’hebdomadaire gratuit Stylist est massivement diffusé dans plusieurs grandes villes de France dont Nice. Si ce magazine est destiné aux femmes adultes, il n’en demeure pas moins qu’il est mis à la portée de tous. Distribué dans des lieux publics fréquentés, un mineur peut se le procurer sans la moindre difficulté. Aucun parent, soucieux de l’éducation et du bien de ses enfants, ne peut l’accepter.
À la suite de l’association des Juristes pour l’Enfance, la seule jusqu’à présent à avoir eu le courage de dénoncer ce scandale, Marie-Christine Arnautu a adressé ce jour une lettre ouverte à Monsieur Christian Estrosi. Dans ce courrier, elle exige du maire de Nice qu’il s’assure que la publication licencieuse ne soit plus distribuée dans les espaces publics à proximité des établissements scolaires et qu’il publie, le cas échéant, un arrêté municipal en vertu des pouvoirs de police qui sont conférés par la loi au premier magistrat de la ville.
Conformément au Code général des Collectivités Territoriales, notamment les articles L. 2212-1 et L. 2212-2, le maire doit veiller au maintien de l’ordre public, troublé, en l’occurrence, par l’exposition des enfants à la pornographie. En outre, Officier de Police judiciaire en vertu de l’article 16 du Code de Procédure Pénale, le maire est habilité à faire respecter les dispositions du Code Pénal qui visent à protéger les enfants contre les messages contraires à la décence la plus élémentaire (cf. les articles 227-24 et R.624-2 du Code Pénal).
À l’heure où le débat sociétal se cristallise autour du harcèlement sexuel dans les milieux du showbiz ou de la politique, le torrent de pornographie qui se déverse quotidiennement sur les enfants ne suscite que peu d’intérêt. Cette situation choquante doit cesser !
droidoteur
Compter sur Estrosi, c’est comme traverser des sables mouvants…
Estrosi est une quiche !
Jeanne
Mesdames qui allez se coiffer chez Dessange, n’hésitez pas à alerter votre salon du contenu pourri de ce gratuit.
eusebe1er
ce qui compte pour ces affidés c’est de tendre des embuscades psychologiques et de pourrir les cerveaux par surprise en y mettant des graines maléfiques , ainsi on se souviendra que canal+ a diffusé « par accident » un film porno en plein milieu d’émissions visibles par nos enfants et autre exemple ci desous :
« Il y a peu, l’émission américaine pour enfants “1 rue Sésame” diffusée sur Youtube a été remplacé par une vidéo pornographique en lieu et place de l’habituel programme de marionnettes. »
https://fr.news.yahoo.com/canal-diffuse-erreur-extraits-dun-film-porno-journ%C3%A9e-074700724.html
https://www.ladepeche.fr/article/2013/01/17/1538463-seine-maritime-un-film-x-diffuse-par-erreur-dans-une-classe-de-maternelle.html
http://www.jeanmarcmorandini.com/article-6191-canal-prepare-une-chaine-gay.html