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Christian Perronne sur CNews : “Il n’y a pas de 5ème vague.”

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Il affirme aussi :

“Tous les pays du monde qui n’ont pas vacciné n’ont plus d’épidémie.”

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18 commentaires

  1. Malheureusement, il n’est pas bon du tout et dessert la cause qu’il voudrait défendre plutôt qu’il ne la conforte. Il bafouille, hésite, ne justifie pas ses affirmations par des sources, … En un mot, il n’est pas crédible, “il affirme”.

    Il devrait rejoindre un groupe sérieux auquel il participerait en travaillant son sujet et confier ses trouvailles à d’autres communicants plus crédibles.

    • Je suis d’accord avec vous. Le minimum serait qu’il apporte avec lui quelques copies d’écran et graphiques attestant ses affirmations, comme le faisait Raoult dans ses premières interventions à contre-courant. Tout le monde n’a pas lu son livre et ne connait les références qui s’y trouvent, il devrait alors pouvoir donner envie de le lire. Et si l’exercice d’un passage à la télévision est trop difficile pour lui, ce qui est compréhensible, qu’il s’abstienne alors d’y venir.

    • Ce qui compte c’est le fond, pas la forme. Si on n’est pas capable de comprendre cela, c’est qu’on est une personne sans intérêt.
      Péronne est un homme excellent et sur la forme on ne peut être excellent partout, la fatigue ces militants. Ça fait 2 ans qu’ils se battent sans arrêt je vous le rappelle

    • Un homme sincère et courageux qui affirme beaucoup moins et argumente bien plus solidement que Macron, Castex et compagnie.

    • Le professeur Perronne est quelqu’un de très émotif, c’est tout à son honneur, c’est ce qui fait sa compassion pour les malades. Il faut vraiment avoir une peau de crocodile pour résister aux attaques de plateau, se faire interrompre dès qu’on ouvre l bouche etc …

  2. Pourquoi les dirigeants des pays occidentaux en particulier poussent à la vaccination? peut-être que si on se posait la question: combien gagne micron et son staf de bourricots sur chaque vaccin, on aurait le réponse. Dans la vidéo, pourquoi leprofesseur Perrone ne serait-il pas aussi crédible que toute cette clique de toubibs qui ne soignent jamais et qui se succèdent sur les plateaux télé? Si on l’interdit c’est que peut-être il dit la vérité. D’ailleurs un chercheur pôlonais a décortiqué cette saloperie qu’ils appellent vaccin et comme par hasard certains flacons sont remplis de saumure et d’autres d’un mélange qui n’attend qu’un signal pour se développer. Peut-être que la 5G va arriver à point nommé pour activer cette “bête” et transformer leporteur en allien ou autre

  3. Tous les jours nous assistons à des mauvaises nouvelles sur ce pseudo-vaccin. Va-t-il être remplacé dans les Antilles françaises par un vaccin non ARN ? C’est en discussion ! Avec toutes les déclarations gouvernementales compilées il y a un nouveau film ‘pieds nickelés’ à sortir en salle.

  4. Il est certain que la forme du discours est mal construite et le desservent (à moins que cela ne souligne une forme de sincérité naïve). En fait il y a tellement de contre-vérité qui nous sont infligées par le gouvernement et ses relais médiatiques qu’on le sent indigné et en quelque sorte submergé et débordé par l’ampleur du mensonge.

  5. Perrone n’est pas un médecin de plateau . Ce n’est donc pas un spécialiste du discours. Savez-vous, vous-même parler en public ou devant jury sans bafouiller. Quand vous dites pas de références, 60pages dans son denier livres c’est quoi alors?

  6. “On a toujours tort d’avoir raison trop tôt.”

  7. Ce qui est caractéristique c’est la pétoche qui s’empare du meneur de jeu, puis, par ricochet, de Rioufol, qui est pourtant l’inviteur, et de la dame journaliste. Cela à partir du moment où Perronne remet en cause le dogme de la pseudo-vaccination Pfizer. Qu’est-ce qui tue? Pfizer ou Covid ? Ptêt ben les deux mon général. Est-il possible que tous les gouvernants européens se soient gourés à ce point et fait mourir par idéologie, négligence, mimétisme, j’men foutisme, ou carrément cynisme, tout un tas de vieux, d’obèses, de cancéreux, de diabétiques? Ils ont bien fait pareil avec le sang contaminé, et ils veulent imposer aux polonais l’avortement obligatoire. La chose est donc possible. D’autant plus possible que Pfizer répand une manne financière sur toute cette bande de politicards véreux, médecins aux ordres, journalistes au garde à vous. La mère Van der Leyen, toujours tirée à quatre épingles, look de sainte nitouche, a payé cash à Pfizer d’énormes stocks de sa saloperie de thérapie génique. Et le professeur ne fait même pas allusion aux femmes auxiliaires médicales engrossées par insémination artificielle, avortées par césarienne, et les foetus dépecés par les sbires de Pfizer. Cela est encore une autre histoire, comme dirait le docteur Kipling.

  8. Pas convaincue non plus, c’est dommage. Il ne donne que des témoignages un peu brouillons, ne cite pas ses sources. C’est un peu léger pour une sommité comme lui et ça dessert son combat. Il faut être précis et percutant quand on tient ce genre de discours à contre courant et là on n’a pas envie de lire son livre. Désolée…

    • J’ai lu son premier bouquin. Ce n’est pas un théoricien de la chose. Ce sont plutôt des considérations de bon sens. Il faut dire qu’avec la bande de branquignols qui nous gouvernent, et ne veulent pas notre bien, cette réaction salutaire s’impose. Son deuxième bouquin ne fait pas l’objet d’une promotion exagérée. Je vais tout de même essayer de me le procurer. Je vous recommande aussi “les vaccins en question” de Pamela Acker, en vente chez Clovis.

  9. Quand le professeur Péronne déclare que les quatre produits que l’on veut nous injecter ne sont pas des vaccins, il a parfaitement raison.

    Un vaccin, tel qu’il a été accidentellement découvert par Jenner, contre la variole, ou systématisé par Pasteur, est une version morte ou atténué du virus ou de la bactérie, qui ne peut plus déclencher la maladie, et qui est injecté pour donner à l’organisme la possibilité de reconnaître les vrais agents infectieux, les virus ou bactéries dangereux. Dans un vrai vaccin, le microbe est tellement peu nuisible, qu’il faut rajouter des substances irritantes, les adjuvants, pour provoquer une réaction de l’organisme, pour qu’il identifie le microbe, virus ou bactérie, comme nuisible.
    Par la suite, le système immunitaire reconnaitra l’agent infectieux, le microbe, et le combattra.

    Le vaccin que développe l’entreprise française Valneva est un vrai vaccin. Il contient le coronavirus du Covid-19 sans son ARN intérieur. En fait, il n’y a que l’enveloppe du virus. il ne peut donc se reproduire et infecter l’organisme. Par contre, cette enveloppe contient plusieurs protéines reconnaissables par le système immunitaire. Si le coronavirus vient à muter, si la fameuse protéine « S », de pointe, vient à être modifiée, il reste les autres protéines de l’enveloppe pour identifier le coronavirus. Le vaccin classique de Valneva sera donc plus capable de s’adapter et de prévenir les différents variants résultants des fréquentes mutations du coronavirus.

    Pour l’instant, le vaccin de Valneva, lui aussi en phadse III, montre plus d’efficacité et beaucoup moins d’effets nocifs que les quatre substances autorisées par le gouvernement français. Il reste néanmoins interdit en France

    Par contre, les quatre substances injectables que notre gouvernement macronien a autorisé, conseille, et rend quasiment obligatoires, ne fonctionnent pas comme un vaccin.

    Ces quatre substances fonctionnent suivant la même logique.

    Leur injection dans l’organisme introduit une information génétique qui ordonne à nos cellules de fabriquer la protéine « S », la protéine de pointe, ou « spike », c’est à dire dans l’état actuel des connaissances, la partie la plus toxique du virus.
    Cette protéine, une fois fabriquée, va faire ce pourquoi elle est faite. Elle va se fixer sur les cellules humaines qu’elle rencontre. En priorité, elle va se fixer donc sur les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins, les cellules du sang, ou celles des organismes bien irrigués comme le cœur, les poumons, les organes sexuels, et le cerveau, puisque cette molécule étant plus petite qu’un virus ou une bactérie, elle peut franchir la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau.
    Notre système immunitaire à son tour va faire ce pourquoi il est fait. Il va combattre tout ce qui porte cette protéine « spike » irritante. il va donc combattre effectivement le virus, mais aussi toutes les cellules de l’organisme sur lesquelles sont fixées ces protéines de pointe « S ». Le système immunitaire est donc éduqué à attaquer de nombreuses cellules de l’organisme qui a reçu l’injection à code génétique.

    On est donc devant une démarche perverse, qui consiste à apprendre à un corps humain, à se faire du mal à lui même.

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