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"Dans un article publié par le quotidien italien La Stampa, Marco Tosatti reprend l’intervention du sociologue italien, Massimo Introvigne, à la Commission Affaires politiques et démocratie de l’Assemblée plénière du Conseil de l’Europe qui s’est réunie ce mercredi 14 mars à Paris, sur le thème : « La violence contre les communautés religieuses ».
C’est une véritable mise en garde qu’a lancée Massimo Introvigne devant l’assemblée, dénonçant ceux qui nient la christianophobie. Son témoignage a tout d’abord porté sur les dimensions et les racines de la christianophobie, «le triple phénomène – a-t-il dit – part de l’intolérance culturelle, passe par la discrimination dans les lois et arrive à de véritables et violentes persécutions ». Il a ainsi indiqué quatre « secteurs de préoccupation» : l’ultra-fondamentalisme islamique – qui tire parfois profit des incertitudes nées après les « printemps arabes » ; les régimes communistes rescapés, comme la Corée du Nord, le pays le moins accueillant aujourd’hui pour les chrétiens dans le monde ; le nationalisme hindou ou bouddhiste qui s’en prend souvent aux missionnaires ; et l’aversion laïciste de l’Occident contre la religion en général et l’Église catholique en particulier. « On ne peut pas évidemment mettre au même niveau les spectacles offensifs, les campagnes de presse ou les pressions à caractère administratif en Occident avec les assassinats ou les tortures au Nigeria ou au Pakistan – a relevé le sociologue – cependant, il existe une pente qui conduit de l’intolérance à la discrimination et de la discrimination à la persécution ».
Massimo Introvigne a également mis en garde la Commission sur la pression croissante manifestée par certains organes de presse sur ce thème de la christianophobie. Ils ont tendance, a-t-il dit, à éloigner et à critiquer ceux qui s’en occupent en les qualifiant d’alarmistes. « Les victimes sont toujours sympathiques, mais il est beaucoup plus difficile de se faire entendre, quand on passe des victimes aux persécuteurs, dont les noms peuvent faire renaître d’anciennes sympathies et idéologies avec la crainte pour certains que l’on puisse couper les vannes du pétrole ou cesser d’acheter des titres d’État. Et pourtant, le temps de la compassion bon marché pour les victimes est fini. Le moment est venu de dénoncer ceux qui persécutent les chrétiens, de les arrêter immédiatement avant que le massacre ne se transforme en génocide ». Avant de conclure : « Attention à ceux qui le nient pour des raisons idéologiques »."
Sancenay
L’arme fatale de cette persécution engagée de longue date est bien la promotion du dimanche travaillé qui ne suscite guère de la part d’étranges élus « catholiques », sauf si rares exceptions, qu’un coupable silence de plomb, bien volontairement formatés qu’ils sont par des décennies d’enseignement de l’histoire mensonger et de propagande médiatique itou.
On les voit les même tout au contraire occupés à s’agiter fébrilement derrière de pâles écrans de fumée tels que la Loi Léonetti * pour tenter de leur part d’appâter gogos et bobos catholiques aussi peu fidèles que raisonnables, vers telle urne « qui va bien ».
Que ces propos me vaillent ou non quelque pression que ce soit, puisque l’usage en semble si fraternellement établi, je ne saurais pour ma modeste part laisser se dessiner pour l’avenir de mes enfants et celui de leurs contemporains de si funestes perspectives fatales à la notion même d’humanité.
* glorifiée très conjointement hier par le socialiste national Hollande, faut-il le rappeler. Celui-ci justifiait d’ailleurs sa proposition d’aider au suicide des mourants ainsi qu’à la trahison parfaite du serment d’Hippocrate, par la réalité, hélas exacte dans son analyse , d’une application actuelle de la Loi Léonetti qui permet même, d’après ses chiffres , la réalisation de “7 à 8000” euthanasies authentiques en France.
Jean Theis
Comment se porte Monsieur Attali ? Bien, j’espère pour lui.
Au fait, quel âge a t’il ? On imagine que ses écrits lui assurent la solvabilité qui manque à beaucoup d’anciens.