Thaïs d’Escufon, ex-porte-parole de Génération identitaire, raconte une tentative de viol qu’elle a subi chez elle, avant d’être censurée par Instagram (mais que fait Marlène Schiappa ?) :
J’ai hésité, par pudeur, avant de savoir si je devais ou non vous raconter ce qu’il m’est arrivé hier matin.
J’ai finalement décidé de le faire, car j’ai la chance d’avoir des soutiens nombreux pour partager mon message et faire en sorte que mon expérience malheureuse soit utile, qu’elle puisse réveiller le maximum de monde sur ce qu’il se passe en France et en Europe.
Ce qu’il m’est arrivé, c’est ce pourquoi on m’a traitée de menteuse, de raciste, de fasciste sur le plateau d’Hanouna quand je l’ai dénoncé. C’est ce que des milliers de Françaises subissent tous les jours. Ce qu’il m’est arrivé, c’est ce que je dénonce et ce pourquoi on me censure.
Hier en rentrant de ma séance de sport, j’ai manqué vivre le pire. Tout est allé très vite.
J’ai été séquestrée une demie-heure par un migrant d’origine Tunisienne qui a cherché à me violer.
Il s’est introduit chez moi alors que j’avais mes écouteurs, je ne l’ai pas entendu arriver dans mon dos. Tout s’est passé si vite, il a fermé la porte et pris la clé que j’avais mise dans la serrure. Je me suis retrouvée seule avec cet homme, enfermée.
Qu’est ce que c’est long une demie heure avec un fou chez soi, dont vous ignorez tout. Peut-être était-il armé ? Camé ?
Je précise que ce migrant ne me connaissait pas et ne m’avait pas reconnue. Cela aurait pu vous arriver à vous aussi.
Extrait de sa plainte :