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Culture de mort : Idéologie du genre

Chronique des cinglés

Chronique des cinglés

L’INED constate que le folie s’installe tranquillement :

Ce sont 19 % des femmes et 8 % des hommes de 18-29 ans qui ne se définissent pas comme hétérosexuel·les. Cette augmentation s’accompagne d’une diversification des identifications : ainsi la pansexualité (l’attirance pour des personnes indépendamment de leur sexe) ou l’asexualité (l’absence d’attirance envers autrui), même si elles peuvent recouvrir des réalités anciennes, sont de nouvelles manières de se définir. […]

Entre 2015 et 2023, la proportion de femmes âgées de 20 à 29 ans qui ne se disent pas hétérosexuelles a été multipliée par 5 et celle des hommes de la même tranche d’âge par 4 […]

Entre 2015 et 2023, le nombre de personnes âgées de 20 à 29 ans qui s’identifient comme bi ou pansexuelles a été multiplié par un peu plus de 6 : elles sont aujourd’hui près de 4 % chez les hommes, et près de 14 % chez les femmes […]

Au-delà de la propagande LGBT, qui s’infiltre dans tous les domaines, le délitement de la famille est certainement une cause majeure de cette déconstruction.

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4 commentaires

  1. Au moins ces invertis se reproduisent bcp moins que le reste de la population, comme quoi la nature est bien foutue !

  2. Délitement de la famille auquel il faut ajouter une immigration massive …

  3. A mettre en relation avec les 13 % de jeunes qui ne se reconnaissent pas dans la distinction homme / femme.
    « Se définir », « s’identifier comme », « se reconnaître dans », …
    C’est notre intelligence qui est malade et qui ne parvient plus à identifier la nature des choses.

    Quand on perd de vue la finalité des choses, il n’est plus possible de les comprendre et de les définir. Ainsi, la mentalité contraceptive, qui dissocie totalement la sexualité de sa finalité qu’est la procréation, nous invite-t-elle à faire toutes sortes d’expériences plutôt qu’à s’engager et à fonder une famille.
    Comme si on disposait d’une pilule qui nous permettait de manger sans qu’il y ait de conséquences derrière, en découplant le fait de manger de sa finalité qui est de se nourrir. Difficile dans ces conditions de ne pas manger ce qu’on veut quand on veut…

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