Le tribunal de Bobigny condamne l’Assurance maladie pour avoir refusé de prendre en charge le remboursement de l’ablation des seins d’une jeune femme qui se prétend homme. Elle avait obtenu que sa « dysphorie de genre » soit reconnue comme « affection de longue durée » (c’est donc une maladie…), ce qui impliquait la prise en charge totale des « soins »… Dont la charcuterie mammaire de plus de 5.300 €. (Et elle récolte en plus 3.000 € de dommages et intérêts…)
Le même tribunal a également enjoint l’Assurance maladie de prendre en charge en « affection de longue durée » la « dysphorie de genre » d’une autre jeune femme qui se dit homme.
Michel
De tels juges devraient être révoqués et internés en hôpital psychiatrique…
Philippe de Geofroy
Les mêmes affirment effrontément que la dysphorie de genre n’est pas une maladie mais par ailleurs réclament la prise en charge totale par l’assurance-maladie ! Il y a quelque chose que je ne pige pas comme dirait Jean Messiha !
C.B.
Pa comparaison, le grossesse, QUI N’EST ÉVIDEMMENT PAS UNE MALADIE, n’est prise en charge à 100% que du 1er jour du 6e mois de grossesse jusqu’au 12e jour après la date de l’accouchement (donc moins de 50% de sa durée).
Horace
Dans ces cas, seul un séjour en psychiatrie serait la solution.