Le gynécologue de Pau qui avait refusé d’examiner un homme qui prétendait être une femme a été condamné pour outrage sexiste, mais relaxé pour le chef de discrimination.
Toutefois, le procureur a décidé de faire appel parce qu’un gynécologue doit soigner aussi les hommes.
Le 4 décembre, le tribunal correctionnel de Pau avait jugé qu’il n’y avait pas eu de discrimination, faute de «contact direct» entre les deux. Il appartiendra aux juges de la cour d’appel de confirmer ou d’infirmer ce jugement.
