Le Figaro consacre un article aux consultations médicales concernant la «dysphorie de genre». Il paraît que le ministère de l’Éducation nationale est sommé de se positionner.
Les consultations médicales sur l’identité de genre se multiplient en France. La prise en compte des enfants et des adolescents qui réclament une nouvelle identité bouscule l’école. Certains pédopsychiatres remettent en cause le discernement des plus jeunes sur cette transformation.
L’article raconte notamment l’histoire de cette jeune fille qui a voulu devenir un garçon. Les professeurs de l’établissement catholique qui l’accueillait n’ont pas vraiment fait de difficulté…
Avant la rentrée en terminale, rendez-vous a été pris dans l’établissement privé catholique qu’il fréquente depuis la sixième. « Tout s’est fait très simplement. Seul un professeur n’a jamais réussi à m’appeler Jules » , explique le jeune homme. Avant son entrée à la fac, il a officiellement changé son état civil. Depuis deux ans, il a commencé les traitements hormonaux.
Soumis au lobby LGBT, le ministère de Jean-Michel Blanquer réunira fin janvier un groupe de travail sur la transidentité.
Mais l’article rappelle qu’il y a un vrai sujet sur le discernement des enfants, qui veulent changer de sexe :
En Grande-Bretagne, la question du discernement et du consentement éclairé des mineurs sur la voie de la transition a fait grand bruit en décembre. Les juges anglais ont donné un coup d’arrêt aux traitements bloqueurs de puberté pour les enfants. À 13 ans ou moins, il est « hautement improbable qu’un enfant soit compétent pour consentir à l’administration d’inhibiteurs de puberté » , a tranché le tribunal. Quant aux adolescents de moins de 16 ans, ils ne peuvent prendre ce traitement que s’ils en comprennent les conséquences « immédiates et à long terme » . Les juges ont ainsi donné raison à Keira Bell contre la clinique londonienne Tavistock and Portman NHS Trust , spécialisée dans la transition de genre. Cette jeune femme de 23 ans avait commencé à prendre des inhibiteurs de puberté à l’âge de 16 ans. Une première étape complétée plus tard par la prescription de testostérone, puis par une double mastectomie (ablation des seins). À l’époque, Keira voulait devenir un homme. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. La jeune femme fait partie de ceux que l’on appelle désormais les « détransitionneurs » , des personnes qui regrettent leur changement de sexe. À la BBC, elle a décrit son traitement comme une « expérience dévastatrice » .
Biem
Le traitement chirurgical de l’obésité par chirurgie bariatrique suppose une information pluridisciplinaire par une équipe comprenant un psychologue ou un psychiatre, et un suivi y compris psychologique : changer radicalement son corps ce n’est certainement pas neutre.
F. JACQUEL
Ce n’est parce qu’on change la robinetterie que le sexe change : dès la conception, les cellules se multiplient, et conservent TOUTES le même code génétique XX ou XY que l’on retrouvera dans n’importe quelle partie ou n’importe quel organe.
La testostérone ou les œstrogènes utilisés dans ces “thérapies transgenres” n’ont aucun effet de thérapie génique. Ce qui explique, peut-être, les conséquences psychiatriques tragiques généralement constatées quelques années plus tard.
DUPORT
Tout ceci démontre une absence totale d’amour des parents pour leur enfant…
Faliocha
Et un déchaînement du Démon sans précédent !