Patrick Jardin est le père d’une victime du Bataclan, traîné dans la boue par la presse de gauche pour avoir osé demander l’annulation du concert du rappeur Médine. Aujourd’hui il dénonce les méthodes de Claude Askolovitch, qui n’a rien d’un journaliste :
Mon téléphone a sonné et c’était Claude Askolovitch qui me demandait de retirer des tweets. D’abord surpris : on ne se connaît pas, on ne s’est jamais parlé. Des tweets envoyés à la suite de la revue qu’il avait faite sur moi, sans me consulter ni me rencontrer, se basant uniquement sur un article du journal Le Monde. Je trouvai cela très peu professionnel. Il m’a expliqué que c’était souvent comme ça que les journalistes pratiquaient. Il a raison ; parfois on m’indique qu’un journaliste a écrit un article sur moi dans telle ou telle revue sans que je l’aie jamais rencontré et sans que je le sache. C’est curieux comme façon de faire. Cela explique peut-être la médiocrité de nombreux articles car, à force de se plagier les uns les autres, le dernier publié est devenu une sorte de soupe sans rapport avec le premier. Pour en revenir à la revue de presse en question et à ses conséquences, les réseaux sociaux se sont emballés et les tweets de Claude Askolovitch, suivis des miens, ont entraîné certains internautes dans une dérive intolérable, jusqu’à menacer les enfants du journaliste. C’est dégueulasse !
Claude Askolovitch, je ne le connaissais pas. Je l’avais entendu parfois sur RTL dans l’émission de Fogiel. Il m’était apparu comme un journaliste de gauche. J’ai donc recherché et lu ce qu’il écrivait. Je me suis aperçu que nos points de vue étaient diamétralement opposés, surtout pour ce qui touche à l’islamisation de la France. Mais qu’importe, discuter avec quelqu’un qui a des idées différentes des vôtres peut être enrichissant, mais à une seule condition : que cela soit dans le respect mutuel. Après plusieurs échanges loyaux, je lui ai donné satisfaction en supprimant mes tweets. À la suite de cela, il m’a demandé s’il pouvait écrire un article sur notre conversation. Je lui ai répondu par l’affirmative mais en exigeant qu’il m’envoie d’abord son projet d’article, voulant être certain qu’il reprenait bien le contenu de nos échanges. Je reste prudent, l’article du 28 septembre paru dans Le Monde après ma rencontre avec deux journalistes ayant été détourné de son objet premier, notamment au sujet du mouvement patriote AFO qui avait défrayé la chronique début juillet.
Claude Askolovitch accéda à ma demande sans difficulté. Sauf que, malheureusement, l’article a été publié accidentellement avant que je puisse lui donner mon accord, du moins c’est ce qu’il m’a dit. J’ai donc lu l’article après sa parution et je ne peux pas laisser dire tout ce qui y figure. […]
M. Askolovitch, je suis désolé de devoir vous écrire qu’apparemment, VOUS NE COMPRENEZ RIEN à mon combat. Mon combat n’a jamais été politique et NE LE SERA JAMAIS… Je n’ai pas contacté que des gens de droite et je vous demande, cette fois-ci, de vous mettre à ma place. Vous êtes le porte-voix de vos amis, cette gauche retranchée dans sa bien-pensance, cette gauche qui a fait la sourde oreille à ma colère et à ma souffrance. Au fond de vous-même, elle vous dérange et, ne supportant pas que vos enfants soient insultés, réfléchissez à ce que vous vivrez si un jour, par malheur, ce cancer qu’est l’islam, par l’entremise d’un de ses fanatiques, assassine votre Nathalie. Ce jour-là, que je ne vous souhaite pour rien au monde, serez-vous toujours la belle plume Claude Askolovitch et moi l’ignoble fasciste, le jouet de l’extrême droite ? […]
Prout
Le Monde ment et comme on dit, ment même sur la date de parution …
Denys Perrin
mais non mais non, le MOooonde ne ment pas. La preuve ? Decodex le montre en vert, c’est à dire 100 % fiable ….
Montalte
Quelle naïveté! Les jounalistes n’acceptent jamais de faire relire leur article… il faut toujours faire passer ses messages du 1e coup et courir le risque d’être déformé. Ou alors refuser l’interview
Remy
Ne jamais faire confiance à un journaliste. Surtout de gauche.
Sectarisme, malhonnêté, malveillances, manipulations sont leurs lots quotidiens.
philippe paternot
ces gens là toujours prompts aux grands sentiments ne montre même pas la moindre compassion pour ce papa dévasté par l’assassinat de sa fille, et sans vergogne lui crachent dessus!