Les militants de la culture de mort vieillissent et n’ont pas transmis leur haine de la vie (on peut comprendre !). Dans une génération, restera-t-il des médecins pour pratiquer l’avortement ?… C’est ce type de question qui semble durcir la position des militants de l’avortement qui s’en prennent maintenant à la clause de conscience. Comme à Fougères :
Avec le départ à la retraite d’un gynécologue de l’hôpital de Fougères au début de l’année 2018, l’accès à l’interruption volontaire de grossesse est problématique. Deux praticiens du service invoquent leur clause de conscience. Un groupe féministe fougerais s’insurge de cette situation. […]
En effet, seul un praticien à mi-temps, réalise l’IVG, les deux autres mettent en avant leur clause de conscience. Résultat, la patiente souhaitant avorter mais ne pouvant obtenir de rendez-vous dans les délais est envoyée à Rennes.
Deuslovult
Tout le monde panique a la radio sur le sujet. La vérité finit toujours par triompher.