Intéressante question écrite de la sénatrice LR de l’Eure et Loire Chantal Deseyne:
Mme Chantal Deseyne appelle l’attention de M. le ministre de la santé et de la prévention sur l’obligation des élèves en école de sage-femmes de participer à un avortement pour valider leur cursus de formation et pouvoir obtenir leur diplôme. Elle souhaiterait savoir si cette obligation de participer à un avortement a un fondement juridique et pour quelles raisons elle exclut la clause de conscience pourtant autorisée pour les médecins.
Nous attendons la réponse du gouvernement avec intérêt…
VIVANT
Le décivilisateur en chef surfe sur le broyage des crânes de 14 semaines. Tout comme le métier de pharmacien, le métier de sage-femme est impossible à pratiquer pour une personne qui mène droitement sa raison. Non possumus.
Cro-Magnon
Eure et Loir plutôt… !
Gaudete
Une fois de plus on a affaire à des nazillons, demander à des sages-femmes qui sont sensées donner la vie assister à un assassinat, c’est quand même fort de café. Pourquoi on ne pourrait pas former les ,infirmiers ou infirmières sur l’euthanasie en euthanasiant ces charlots du pouvoir, ce serait un bel exemple d’humanité de leur part et au moins ils sauraient de quoi ils parlent enfin ceux qui n’auraient pas été piquousés. Je pense que pour ces expériences on pourrait y adjoindre les députés et les sénateurs qui sont pour ainsi que les frères la gratouille qui sont à l’origine de ces meurtres à répétition? Ainsi on serait débarrassé de la pourriture qui régit notre patrie