Le ministère de l’Éducation nationale propose aux enseignants du collège et du lycée d’organiser des débats avec leurs élèves sur la vaccination. Apprendre l’Histoire, faites des mathématiques ou étudier la littérature, cela attendra.
Dans une campagne de propagande publiée lundi sur le site de l’Éducation nationale, le ministère du matraquage idéologique oriente les professeurs, dans le but d’«aider les élèves à forger leur propre opinion sur la vaccination» : un guide et huit cartes pour animer la conversation. Ce débat se décompose en trois étapes :
- une introduction de 15 minutes pour expliquer aux élèves toutes les problématiques qui entourent le sujet ;
- un dialogue entre les groupes pendant 35 minutes afin de défendre les positions choisies par l’un des personnages de l’une des cartes ;
- une phase finale pour savoir ce que les collégiens ou lycéens auront appris, et si leur avis a évolué à la fin du cours.
«Ce débat est structuré autour de l’hésitation vaccinale, un sujet d’actualité souvent controversé».
A quand des débats sur la propagande du ministère de la rééducation nationale ?
2018
Il faut organiser des débats sur le satanisme du RN, pour voir « si leur avis a évolué à la fin du cours »
Faliocha
Je préconise un débat sur l’utilité, pour la science d’après-guerre, des expériences du Dr Mengele. Les élèves qui devront défendre le bon docteur, après étude approfondie de son œuvre, demanderont aux autres à la fin du débat si leur avis a évolué. Après tout, entre lui et Delfraissy ou Véran, la différence n’est pas si grande !
LouisBansergmann
– 15 minutes pour parfaire la propagande des “vaccins” et donner des “pseudos-arguments contraires” montés de toutes pièces par des covido-soumis.
– 35 minutes de dialogue pour voir s’il y en a qui osent déjà, à cet âge, poser un avis contraire au bourrage de crâne.
– Une phase finale pour vérifier que le formatage covidiste s’est bien imprimée dans les esprits et pour avoir le dernier mot (ce dernier mot qui marque le plus l’esprit des jeunes enfants).
C’est cela sans doute qu’ils nomment “débat”.
De toute façon, si c’était plus impartial, cette séance ne leur serait d’absolument aucun intérêt et il n’auraient pas pris la peine de faire sauter un cours de Néo-Histoire masochiste, de Civisme républicain ou de Littérature Nord-Africaine pour risquer de faire réfléchir les enfants sur les problèmes des vaccins qu’ils s’évertuent justement à passer sous silence.
Faliocha
On ne peut mieux dire !
borphi
Les débats à la Macron n’ont jamais contribué à la réflexion.
Mais sont plutôt formatés de propagande.