Obéissant aux sirènes hurlantes de la gauche, Chirac a décidé d’abroger l’article 4 de la loi du 23 février 2005, en demandant la saisine du Conseil constitutionnel, qui doit dire si l’alinéa controversé de la loi de février 2005 est bien du domaine réglementaire et non législatif.
Selon Chirac, "le deuxième alinéa de l’article 4 suscite des interrogations et des incompréhensions chez beaucoup de nos compatriotes. Il convient de les lever pour retrouver les voies de la concorde. La Nation doit se rassembler sur son histoire." Jean-Louis Debré a rappelé "que ce n’est pas à la loi d’écrire, de commenter ou de porter un jugement sur des faits qui relèvent de l’Histoire".
On ne leur en voudrait pas s’ils décidaient par la même occasion de supprimer les lois qui empêchent la liberté de la recherche historique, comme la loi Gayssot. Mais ce ne doit pas être à l’ordre du jour, ces lois ayant été votées par la gauche…
Prof. FP
Loin d’apaiser, cette lâcheté va inciter les ennemis de la France a exiger qu’elle se couche un peu plus.
Anonyme
Chirac est un gauchiste. Quand on refuse l’effort de monter vers les sommets de la droite, on glisse dans la chienlit de la gauche et on haït ceux qui ont le courage de s’accrocher à la paroi et de continuer l’ascension.
C’est toute la politique de Chirac le Rouge, l’apostat, le traître depuis trente ans… Quel mal il aura fait à notre pays!
aime.16
comme le disait NAPOLEON 1er a Talleyrand chirac est “une merde dans un bas de soie”.
Grif
Le masochisme national fait aujourd’hui parti du kit du “parfait petit républicain”. Sans les “bienfaits” apportés par la France à ses anciennes colonies, celles-ci seraient encore, actuellement, à l’âge de pierre .
Anonyme
Attribué à Marie-France Garaud à propos de Chirac:
“Tout d’abord j’ai cru qu’il était fait du marbre dont on fait les statues, mais il n’est fait que de la faïence dont on fait les bidets”.
Plus sérieusement, ce soir sur France 2 il y aura une émission à 20 h 50 (animé par A. Chabot) sur le rôle positif de la colonisation. Villiers est un des invités, ainsi que Max Gallo je crois.
1011
Que cette loi soit abrogée pourquoi pas? Ce n’est pas cela qui est choquant dans la déclaraton du président, le problème c’est qu’il n’est aucunement question de remettre en cause la loi mensongère et partiale de 2001 déposée par Mme Christiane Taubira sur l’esclavage en vertu de laquelle des historiens de haut niveau sont poursuivis. Pire encore, (provocation?)M. Chirac en rajoute en se proposant de célébrer une journée avec faste l’abolition de 1848, façon de souligner cette tache dont la france doit avoir honte. Il faut faire du lobbying pour obtenir aussi le retrait de cette loi.
Anonyme
Tout à fait, et avec cela, l’abolition de la loi Gayssot.
le Partisan Breton
Cette histoire nous montre une fois de plus que notre Président n’en a tout simplement pas…
Excusez-moi de ce bref écart de langage, la douleur m’égare.
Mais cette abrogation nous montre une fois encore qu’en France, la liberté de pensée est supprimée puisque l’on n’a pas le droit de reconnaitre le rôle positif de la colonisation… la pensée unique continue à tenter de nous enfermer dans un carcan… à nous donc de nous en défaire!
le Partisan Breton
Et j’ajouterai ceci : simple constat concernant nos anciennes colonies : elles n’ont point regressé avec la colonisation. La France les a aidées à se développer, la France leurs a données les bases pour améliorer leur économie, leur système social, … certes il y a eu des abus mais des abus, il y en a eu toujours (nul n’est parfais ici bas), au final, regardons que les chiffres et l’on apprendra alors que la colonisation a été davantage positif que négatif pour ces pays. C’est par une décolonisation mal gérée par nos dirigeants de l’époque, qui ont en quelque sorte “bradé” nos colonies, vouluent s’en défaire le plus rapidemment possible que ces anciennes colonies ont commencé à décliner. Et ce n’est pas les gouvernements actuels à leur tête qui va les aider à s’en sortir…
Lio
Oui, mais….
Quel que soit le sens dans lequel elle va, une loi qui vise à fixer une interprétation de l’histoire sera toujours condamnable. En l’occurrence, cet article reconnaissait le rôle positif de la colonisation, que les historiens sérieux ne peuvent nier. Bien! Avons-nous besoin d’une loi pour le reconnaître “officiellement”? Sûrement pas!
Ce genre d’initiative me fait furieusement penser à la réécriture de l’histoire par la russie soviétique. Or ce n’est évidemment pas là le rôle du politique. Jean-Louis Debré vise juste quand il affirme que “ce n’est pas à la loi d’écrire, de commenter ou de porter un jugement sur des faits qui relèvent de l’Histoire”. Et ce n’est pas parce des imbéciles veulent cracher sur la France lui reprochant des faits passés et éventuellement même faire constater cela par des lois (cf. Taubira) qu’il faut répliquer par les même méthodes. La fin ne justifie jamais les moyens. En l’occurrence, la vérité historique n’a pas besoin de loi pour exister. La loi qui fixe l’histoire, c’est le début du totalitarisme.
Anonyme
Pardon, mais je croyais être sur un blog catholique ?
En quoi l’Eglise Romaine exige-t-elle qu’on affirme que la colonisation est un phénomène positif ?
Michel Janva
Lisez mieux le dernier paragrpahe de mon post, svp.
florent
Bof la dernière compromission d’une longue série, ça ne m’étonne même plus. Mais au moins, les partisans de la vérité se seront défendu jusqu’au bout.