La municipalité de Poitiers a voté le 3 octobre du maintien de la subvention allouée à Alternatiba, association écologiste à l’origine d’un atelier de formation sur la désobéissance civile.
Au cours du conseil municipal de Lyon du 7 juillet dernier, plus de 20.000 euros ont été votés à des collectifs LGBT : le collectif Lié.é.s, mouvement intersectionnel qui dénonce « l’islamophobie », accuse la police de racisme et défend la cause LGBT.
À Grenoble, Éric Piolle soutient financièrement le « mois décolonial », événement au cours duquel les partisans de thèses racialistes et décoloniales, à l’instar de Taha Bouhafs ou Assa Traoré, s’expriment en toute liberté. Pendant deux ans, la majorité grenobloise a ainsi soutenu l’Alliance citoyenne, collectif militant notamment pour le port du burkini dans les piscines municipales.
A Annecy, la demande de subvention est corrélée au respect du projet politique de majorité écologiste. Dans leur dossier de subvention, il est ainsi demandé aux associations de décrire « leurs pratiques en matière d’inclusion, d’écologie, de vitalité démocratique et de promotion de l’économie locale ».
Source : Boulevard Voltaire
Gilles Tournier
Les mêmes qui vont chialer après leur facture d’électricité. Il faut choisir, les subventions à Satan ou le bien commun. Sincèrement, ces gens-là méritent douze balles dans la peau.
philippe paternot
la plupart des associations ne pourraient pas vivre des cotisations de leurs adhérents, syndicats et médias aussi! SB en revanche , comme de nombreux médias alternatifs prouvent combien la vérité est dissimulée