Selon le père Viot, une victoire de Macron face à Le Pen au 2nd tour n'est pas aussi évidente que certains le croient :
"[…] Ainsi monsieur Macron serait présent au deuxième tour pour affronter la fille du « criminel contre l’humanité « , l’héritière du « barbare » ! Et il vaincrait ! N’étant ni à droite, ni à gauche, ne prononçant que des paroles charitablement creuses, pour que chacun puisse y nicher ses pensées, organisant avec soin, très grand soin, des meetings consensuels, il serait le candidat idéal pour rassembler et marier pour le meilleur et pour le pire tous les « antifascistes » que compte la France ! Il constituerait la tête du front républicain ? Pour répondre à cette interrogation, Molière me vient à l’esprit : « Et votre front, je crois, veut que du mariage les cornes soient toujours l’infaillible apanage « ! Et ce sont les mariages politiques que je vise. Comment en effet imaginer que le clone (ou clown ?) rajeuni de François Hollande, puisse rassembler des français sous sa houlette, eux qui ne veulent plus « voir » le président sortant ? Comment avoir si peu d’estime pour ses concitoyens que de les croire assez inconséquents pour soutenir l’homme qui a inspiré une politique économique qui les a fait tant souffrir ?
Sur le passé français, sa culture, ses racines, il s’en tient aux positions de son Mentor ! Sa provocation injurieuse d’Alger, s’inscrivait dans la suite « des bonnes blagues » de Verdun, invitation du chanteur Black M, et course sur les tombes ! « Dans la France de Voltaire, on peut rire de tout » disait Madame Taubira, « l’icône » de la gauche. Elle n’est pas à ses côtés pour ne pas lui nuire, comme d’autres attendent pour le rallier. Bref, il y aura trop de cornes dans ce front ! Autant de maillons faibles qui donneront à la fille du « barbare » une victoire sans conteste. Et sur ce point, je constate que monsieur Hamon est du même avis que moi ! Que les manipulateurs de sondages et autres empêcheurs de voter « librement » réfléchissent bien à ce qu’ils font. Les français n’aiment pas se faire voler, leur vote, tout particulièrement. Et si ils ont le sentiment que la voix des urnes sonne faux, ils seront tentés, à Dieu ne plaise, de s’en remettre à la voix de la rue ! […]"