Lu sur le blog d’Yves Daoudal :
Cette personne s’appelle Philip Bunce. Il est marié et a deux enfants. Mais il se prétend “fluide de genre” et “non-binaire”. Il peut donc être Pippa Bunce, selon l’humeur du jour. Car il prétend choisir son genre chaque matin.
Il travaille au Crédit Suisse, où il a un badge homme et un badge femme. Il est « chef des programmes stratégiques de l’ingénierie de base des marchés mondiaux ». Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais c’est un personnage important. D’ailleurs en 2018 il était 32e dans le Top 100 britannique des meilleures femmes cadres. Car le Crédit Suisse l’avait indiqué comme femme sur la liste des candidats. Ce qui avait suscité quelques remous, vite étouffés : la transphobie ne pardonne pas.
Gaudete
Ce n’est pas la peine d’être aussi instruit pour être aussi bête. Les c… ça ose tout c’est même à ça qu’on les reconnaît
Meltoisan
Selon l’humeur du jour, il est un person ou une personne…
Comme quoi, ça ne fonctionne pas toujours!
Sauf si on l’écrit en charabia inclusif.ve où ielle devient un.e person.ne.
LGBTQI+CQFD !
Michel
Avec de tels cadres si bien équilibrés, on comprend mieux que le Crédit Suisse connaisse actuellement quelques difficultés…
AnneR
la chimère de l’unité des paradoxes est, et restera toujours, vue de l’esprit donc un néant.
Ainsi, cet individu qui se voudrait “hybride unifié” montre comment il passe de l’état d’ “être une personne” à celui de “ne plus être personne” (Ni homme, ni femme).
AnneR
Au risque de me faire tirer dessus à boulets rouges (peut-être pas ici?), je me demande souvent, à propos des enfants dont les parents sont autant kafkaïens que ce type trans-machin, si ils ne seraient pas moins en danger psychologiquement au cas où ils perdaient leur père (accident, maladie par ex), et que celui-ci avait été digne d’un VRAI père?
Personnellement, je le crois (pour avoir connu des orphelins de l’un ou l’autre parent.)
Qu’en pensez-vous?
Arwen
Étant orpheline de père depuis longtemps, je peux vous répondre:
Mieux vaut une figure paternelle solide mais absente qu’un zozo présent mais « fluide ».
Solide/fluide: tout dépend de ce que l’on veut construire.
AnneR
Merci pour votre réponse chère Arwen.
Votre témoignage est précieux, Ô combien!
Loin de moi , néanmoins, le fait de minimiser la douleur de la perte d’un parent: elle est immense.
Bien à vous.
Arwen
Je vous en prie.
Votre délicatesse me touche 😊
Bien sûr, j’avais bien compris que vous ne minimisiez pas la douleur de perdre (puis de vivre) sans son père ou sa mère.
Mais combien de souffrances moins « visibles » sont le lot d’enfants et d’adultes…
Il ne faut pas juger du fardeau des autres et ne minimiser aucune douleur, qu’elle qj’elle soit.
Merci Faliocha également de votre témoignage.
Faliocha
Orpheline de père moi aussi, je confirme !
denis77
La devise de ce genre de personne doit être : “vérité, réalité je vous déteste, phantasmes, je vous adore et me prosterne devant vous”. C’est l’accomplissement des slogans idiots de 1968″ l’imagination au pouvoir, ou “les utopies d’aujourd’hui seront les réalités de demain” ou encore “soyez raisonnable demandez l’impossible”, et “ce que nous voulons : Tout”.
Meltoisan
J’aime bien le “soyez raisonnable demandez l’impossible”; on peut lui donner de multiples sens bons ou mauvais…
A la fin du XIXe siècle, des enfants descendaient dans les mines et faisaient des horaires inhumains pour presque rien. L’impossible a été demandé, réclamé puis réalisé.
De même pour les congés payés : Il était inimaginable en ces temps-là d’envisager de payer des gens à ne rien faire !
Aujourd’hui, l’impossible n’est plus du même ordre, c’est une négation du réél qui n’a plus de respect de la nature humaine, une déconstruction du réel, un affront à la vérité : 2+2=5 !