"Une anecdote d'un stage effectué dans la presse quotidienne régionale il
y a deux ans. Les journalistes de l'agence locale où j'étais se
plaignaient du contrôle du gouvernement sur les médias (largement
exagéré, mais là n'est pas la question). Je leur réponds qu'il y a une
façon simple de ne pas être sujet à des pressions du gouvernement, c'est
de refuser toute forme de financement en provenance de l'État. Réaction
unanime : cela signifierait, selon ces journalistes, tuer la presse !"
Il est vrai qu'à côté du pactole financier que reçoit la presse française de la part de l'Etat, Liliane Bettencourt fait figure d'avare.
C.B.
Excellente, la comparaison automobilistique du premier lien: la proportionnalité (au programme des classes de fin élémentaire, reprise en collège et au-delà) est un outil simple et efficace.