Dans un communiqué, François Fillon a dénoncé la violence d'extrême-gauche, hier à Nantes, contre la venue de Marine Le Pen :
"Avant-hier, la ville de Nantes a été mise à sac par des manifestants d’extrême gauche et hier des bus de militants ont été attaqués sur l’autoroute par des manifestants d’une extrême violence."
Au même moment, dans un entretien paru dimanche 26 février dans le journal La Provence, Marine Le Pen a estimé que l'affaire Fillon avait “assez duré” et qu'il était “temps qu'on en revienne aux problèmes qui intéressent les Français”.
“Pour le reste, c'est à lui de voir ce qu'il doit faire. Et je le répète, il est urgent que nous puissions en revenir à un débat de fond”.
La violence juridico-médiatique de la gauche permettra-t-elle un rapprochement, contre cette gauche en perte de vitesse, du FN et de LR ?