Selon une méta-analyse réalisée par l’université de l’Arizona, rassemblant les données de 32 études portant sur 6,5 millions d’individus, 160.000 décès et plus de 755.000 divorces dans 11 pays :
"Le résultat est sans appel : ils ont constaté « une augmentation significative du risque de mort précoce chez les adultes séparés ou divorcés par rapport à leurs homologues mariés ». La comparaison des adultes divorcés par rapport aux adultes mariés montre qu’ils ont une probabilité d’être morts plus élevée de 23 % à chaque récolte de données suivante ».
Les hommes présentent même un risque plus élevé que les femmes de mourir précocement après un divorce ; un risque plus important se constate aussi chez les personnes divorcées avant d’avoir 65 ans.
Chose remarquable, l’augmentation du risque, particulièrement élevé chez les jeunes hommes, se constate de manière constante dans chaque étude et dans tous les pays évalués. A tel point que « le nombre de variables de contrôle… ne change rien au risque de mortalité »."
La culture de mort porte bien son nom.