Ainsi, la crèche vivante qui était réalisée ce dernier samedi, place Saint Georges, au cœur de Toulouse, avec des enfants, a dû être évacuée en urgence.
Quelques dizaines de nervis gauchistes détachés de l’arrière de la manifestation des gilets jaunes et scandant des slogans de haine antichrétienne, en ont envahi l’espace, imposant aux organisateurs de la crèche l’abandon des lieux.
La police n’est pas intervenue contre cette grave violence liberticide rappelant dans le passé les premiers actes annonciateurs des tragiques périodes révolutionnaires de persécution anticatholique.
L’Agrif attendra du parquet de Toulouse les poursuites qui s’imposent contre les responsables, connus, de cette agression de racisme antichrétien, pour « entrave concertée à l’exercice de la liberté d’expression selon l’article 431-1 du code pénal ».