Bernard Antony, président de l’AGRIF, directeur de la revue Reconquête, Yann Baly, délégué général de l’AGRIF, communiquent :
Le silence des autorités de la République sur le rezzou sanguinaire lancé contre la jeunesse pacifique du village de Crépol, un soir de bal, a été long très long. Et pour l’heure, Emmanuel Macron, d’ordinaire si prompt à commenter certain fait, n’a toujours rien dit.
En revanche, le reportage dans Le Dauphiné Libéré, réalisé par Salena Benarbia et Thomas Zimmermann, dévoile l’effroyable réalité d’une intention explicite de tuerie raciste. Les journalistes rapportent notamment le témoignage d’un « poignardé », déclarant notamment :
« J’ai entendu que dehors cela s’agitait, il y avait un attroupement, je suis sorti, je me suis pris un coup de couteau dans l’épaule et dans le dos, j’ai vu mon pote Thomas se faire poignarder, j’ai eu peur, je suis retourné dans la salle. J’ai vu un autre pote à moi se faire planter dans le dos, j’ai compressé sa blessure pour faire un garrot, il a été touché au rein. C’était l’horreur. Pour moi c’était clairement un attentat. Les agresseurs ont dit : « On est là pour planter des Blancs ! »
Témoignage corroboré par plusieurs autres victimes et témoins.
L’AGRIF suit de près, bien sûr, les déclarations du Procureur de la République sur cet événement illustrant tragiquement la dérive de la société française vers une sanglante conflictualité raciste.
Naturellement, elle a chargé son avocat de se porter partie civile pour que justice soit rendue aux victimes de la stupéfiante agression raciste perpétrée à Crépol.
Vianney
Il devient urgent que Micron et toute sa clique de voleurs, de vecteurs de ruines, de menteurs, de cupides, de pro LGBTQ, d’incompétents, d’immoraux, d’attentismes de la criminalité, de dictateurs, complices des tueurs d’enfants et de personnes âgées, s’en aillent très loin têtes baissées après avoir rendu tout l’argent qu’ils ont volé.
Cet attentat, aucun membre du gouvernement ne le dénonce. Dehors ces fossoyeurs de notre France.
philippe paternot
étonnant que le président toujours prompt à donner son avis (comme dans l’histoire de nahel) n’ai rien dit, peut être parce qu’il s’agissait d’un petit blanc? assassiné au couteau