Pas d’enfant pas de retraite… La chute du nombre de naissances se poursuit en France.
En 2022, il y a eu 723 000 naissances, soit 19 000 de moins qu’en 2021. Sur la même période, on comptabilise 667 000 décès soit 5 000 de plus qu’en 2021, un niveau élevé du fait du vieillissement de la population. Le solde naturel de la population française est resté positif (56 000 personnes de plus qu’en 2021).
Ce recul de la natalité s’explique en partie par la diminution du nombre de femmes de 20 à 40 ans, en âge de procréer. Mais elle est surtout due à la baisse du taux de fécondité (nombre d’enfants par femme) qui s’est établi à 1,80 enfant par femme l’an dernier, contre 1,84 en 2021. La promotion continue de l’avortement et de la contraception participe à cette culture de mort.
Ce taux a diminué chaque année entre 2015 et 2020, après avoir oscillé autour de 2 enfants par femme entre 2006 et 2014. Il avait toutefois augmenté en 2021. Les femmes sont âgées de 31 ans en moyenne, lors de la naissance de leur premier enfant, contre 29,4 ans, vingt ans plus tôt.
cadoudal
apothéose de la Mère Veil;
Faliocha
Les jeunes filles (les vraies, celles de moins de vingt-cinq ans) ne se marient pas. Elles travaillent : donc elles n’ont pas d’enfants -sans parler de la frange de celles qui n’en veulent pas tout court- . Les jeunes femmes n’en veulent qu’un, et si possible vers 32 ou 35 ans. Les 20-35 ans d’ailleurs sont peu nombreuses, car elles appartiennent à la génération dont les mères étaient déjà dans la même logique. Fécondité des Blanches, françaises de souche? Peut-être 0,8 enfant par femme? On ne le saura jamais, car la fécondité des banlieues doit être à 4 ou 5 au minimum (cf. La vidéo sur l’Arabe en moto qui se moquait du Français en lui faisant dire qu’il était célibataire, alors que lui-même à 28 ans avait déjà cinq enfants). Humainement, la situation est désespérée.
lavergne21
d’autant que maintenant les jeunes femmes diplomées veulent faire carrière comme les hommes, en renonçant à la maternité, sans parler de la petite musique qui instille qu’une nouvelle naissance serait préjuduciable à la “planète”, nouvelle religion !
Isnard
1) Il s’agit du nombre de naissances le plus bas depuis 1945, et non depuis 1946 (en 1946, il y a eu plus de 800 000 naissances rien qu’en France métropolitaine, soit nettement plus que les 723 000 de 2022, outre-mer compris). En 2022 et en France métropolitaine, on n’a compté que 683 000 naissances.
2) Il n’y a certainement pas 4 ou 5 enfants par femme immigrée, bien que celles-ci aient beaucoup plus d’enfants que les femmes nées en France.
Eurostat publie, pour tous les pays de l’Espace économique européen, le nombre de femmes immigrées ou non immigrées et le nombre d’enfants qu’elles ont eu, d’après les données publiées par les instituts nationaux de statistique.
Voici les chiffres DEFINITIFS pour la France, outre-mer compris, en 2020 (pas de chiffres DEFINITIFS plus récents):
Femmes nées en France âgées de 15 à 50 ans: 12 305 271
Nombre de naissances vivantes: 557 676, soit 557 676/12 305 271*35=1,59 enfant par femme (35 est le nombre d’années pendant lesquelles une femme peut avoir un enfant).
Femmes nées à l’étranger âgées de 15 à 50 ans: 2 119 852, qui ont eu 178 099 enfants nés vivants, soit 178 099/2 119 852*35=2,94 enfants par femme.
1,59 enfant par femme née en France et 2,94 pour celles nées à l’étranger. 2,94, c’est un taux qui ne surprend pas, car il est proche du niveau de fécondité observé en Algérie ces 20 dernières années, entre 2,8 et 3,1 de 2008 à 2017. Or, beaucoup de femmes immigrées sont d’origine algérienne en France.
lavergne21
intructif !
zongadar
Il y a cela aussi en 2022 :
https://qactus.fr/2023/01/18/usa-enfin-une-etude-alarmante-montre-la-correlation-entre-la-chute-des-taux-de-natalite-et-les-injections-covid/