Un lecteur nous informe que l’Espagne vit des jours noirs : le Premier ministre Pedro Sánchez est arrivé à un accord avec les indépendantistes catalans, pour réussir à se maintenir au pouvoir. Cela représente, d’après des associations de juges d’Espagne, la dissolution de l’état de droit.
Depuis lundi dernier et pour réagir à cela, les gens se rassemblent par milliers dans les rues de Madrid pacifiquement (il y a aussi des familles avec enfants et des personnes âgées). Les deux derniers jours, la police a jeté du gaz piment, des balles de gomme et a frappé les gens.
Hier, un attentat a visé le fondateur de Vox (Alejo Vidal-Quadras) d’une balle dans la tête. Heureusement il a tourné instinctivement la tête en voyant le pistolet et la balle a cassé la mâchoire.
Le président de Vox Santiago Abascal a déclaré :
« Une période noire commence dans l’histoire de l’Espagne, aujourd’hui un coup d’État contre la Nation a été lancé ».
Le ministre de l’Intérieur Fernando Malaska est accusé d’avoir férocement réprimé une manifestation organisée par Vox afin de protester contre l’amnistie des indépendantistes catalans dans le cadre d’accords électoraux qui devraient permettre au gouvernement socialiste de se maintenir au pouvoir. Le bilan de la soirée fait état de 29 blessés dont 19 policiers. Les manifestants ont jeté des projectiles sur les forces de l’ordre qui ont riposté à coup de grenades lacrymogènes. Mais la manifestation est loin d’être un cas isolé. Depuis une dizaine de jours, plusieurs milliers de personnes se réunissent devant les sièges locaux du Parti socialiste espagnol. Grenade, Séville, Santander, Madrid… sont le théâtre de manifestations dégénérant parfois en affrontements.
Dénonçant les accointances de Sanchez avec les indépendantistes basques (Bildu) et catalans (Junts per Catalunya), Santiago Abascal accuse le premier ministre de « fomenter un coup d’Etat ».
Vladu
Apparement, en Espagne comme en France la Gauche est prête à toutes les compromissions, toutes les trahisons, toutes les alliances avec les ennemis les plus féroces de la nation pour essayer de se hisser ou de se maintenir au pouvoir…
incongru
“les mythes de la guerre d’Espagne” : le retour !
toujours avec le PSOE à la manoeuvre
lecer
Hélas, Francisco Franco est mort, “désenterré” du Valle de los Caidos par les socialistes de Pedro Sanchez (l’ami d’Emmanuel Macron, ne l’oublions pas) et personne n’apparait capable de reprendre sa flamme. Mais que pense et que devrait faire courageusement le roi Don Felipe VI ? La question mérite d’être posée face à l’imposture actuelle et aux danger qu’elle fait courir au pays.
CesarevitchAlexei
Pour paraphraser la phrase concernant la guerre et les militaires : la politique et le destin des nations sont trop importants pour les laisser aux mains des hommes politiques.
jlmont
serait plis clair si on expliquait ce qu’est vox