Sandro Magister revient sur l’affaire Cristiano Magdi Allam, l’ex-musulman baptisé à Pâques par le Pape. Extraits :
"Comme journaliste, Allam a marqué les esprits avec deux articles publiés en 2003. Dans le premier, il a repris le sermon prononcé le vendredi 6 juin de cette même année dans la Grande Mosquée de Rome par l’imam égyptien Abdel-Samie Mahmoud Ibrahim Moussa. Dans le second article, il a traduit de l’arabe les sermons des imams de six autres mosquées d’Italie. Presque tous exaltaient le terrorisme par le suicide et incitaient à la haine envers l’Occident et Israël. Suite au premier article, le gouvernement égyptien a rappelé l’imam qui avait prononcé le sermon. Allam s’est aussi distingué par ses commentaires sur le discours de Benoît XVI à Ratisbonne, qui étaient en total accord avec les thèses du pape. Ses critiques ne visent pas seulement l’islamisme. En diverses occasions [notamment en 2004, suite à l’assassinat de Théo Van Gogh, NDMJ], Allam a dénoncé “la reddition morale, l’obnubilation intellectuelle, la collusion idéologique et la collaboration dans les faits de l’Occident avec les extrémismes islamistes“. A cause de ces positions, Allam a fait l’objet d’attaques en règle de la part de musulmans mais aussi d’intellectuels italiens et européens. […] A plusieurs reprises, Allam a dénoncé une autre peur répandue dans l’Eglise: celle qui fait que dans les pays musulmans – où l’apostasie est parfois passible de la peine de mort – l’on renonce à baptiser, et que dans les pays chrétiens les musulmans qui se sont convertis se cachent."
Sandro Magister reproduit notamment la lettre qu’Allam a adressée au directeur du Corriere della Sera pour raconter sa conversion. Cette affaire montre que la liberté de se convertir est au coeur du dialogue entre catholiques et musulmans.
Michel Janva
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Abderrahim
certes, ce n’est pas une chose facile de quitter l’islam dans les pays musulman, c’est pluôt dangereux d’annoncer publiquement que vous quittez ou vous rejettez l’islam.
D’une part c’est à cause de la tyrannie de l’islam et d’autre part à cause de constitutions et des lois dans les pays musulmans qui sont conformes à l’islam et donc sont contraires aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales qui sont garanties par le droit international, par les chartes internationales et par tous les pays démocratiques du monde.
free
De plus en France, il aurait aussitôt sur le dos le mrap, la ldh, etc… pour racisme, “islamophobie”, fascisme et j’en passe.