On trouve un évêque à la retraite qui réagit au vote d’hier :
Dans les débats actuels sur l’avortement on oublie le principal concerné = l’enfant dans le ventre de sa mère. Nous sommes tous passés par ce stade. Qu’étions nous alors ? Une personne qui ne demandait qu’à vivre ce que nous sommes aujourd’hui
— Mgr Michel Aupetit (@MichelAupetit) January 31, 2024
Les évêques sont souvent plus loquaces quand il s’agit de l’immigration. Chacun ses priorités. Mais ensuite il ne faut pas s’étonner si les Français pensent que l’Eglise est, en France, favorable à l’avortement.
Michel
On est encore plus abasourdi par le silence assourdissant de Rome… Mais il est vrai que le souverain pontife est trop occupé à recevoir ce grand “catholique” de Martin Scorsese et à préparer son voyage chez les Papous dont chacun mesure l’importance cruciale pour l’Église…
Deuslovult
Déplorable
AnneR
Effectivement, le vote d’hier est un non-évènement dans le site de la CEF.
On en voit pas la moindre évocation.
Voici les derniers titres dans la rubrique “Actualités”: https://eglise.catholique.fr/actualites/
En réaction, ma pensée n’est plus opérante, seule me vient la nausée!
Jean Marie Toulet
Oui mais on sauve la planète, avec Laudato Si.
C’est plus consensuel et moins risqué. Pas de vague, pas de division.
Qui a dit qu’il serait signe de division ?
Montalte
Vous avez mieux à faire que de publier ce tissu de mensonges, que ce soit à propos des évêques que du St Siège. Ou alors faites des tests d’Alzheimer. Car tout le monde se souvient de ça : https://eglise.catholique.fr/conference-des-eveques-de-france/textes-et-declarations/534241-declaration-du-conseil-permanent-de-la-conference-des-eveques-au-sujet-de-linscription-du-droit-a-lavortement-dans-la-constitution/
Michel Janva
Oui j’ai déjà cité cette déclaration passée inaperçue en décembre mais là nous sommes fin janvier et la loi est votée à l’Assemblée.
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Oui Monseigneur et cher Docteur : “Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait…”(Mt 25, 31-46) Quel malheur !