Lu sur le blog d’Yves Daoudal :
L’American Journal of Obstetrics and Gynecology a publié une étude québécoise montrant que dans ce pays 11,2% des avortements réalisés au deuxième trimestre de grossesse donnent lieu à des naissances de bébés vivants.
« L’avortement du deuxième trimestre comporte un risque de naissance vivante, en particulier entre la 20e et la 24e semaine de gestation, bien que l’injection de féticide puisse protéger contre ce résultat. »
Il faut se protéger contre le risque de naissance vivante…
Les bébés avortés par induction du travail ont 15,4% de chances de naître vivants, tandis que ceux avortés par dilatation et évacuation 0,2%. Les bébés nés entre la 20e et la 24e semaine ont 21,7% de chances de naître vivants, contre 3,4% entre la 15e et la 19e semaine et 8,5% entre la 25e et la 29e semaine.
10% d’entre eux survivent plus de trois heures.
En 2013, Statistique Canada indiquait que 491 bébés avaient été laissés à l’abandon après être nés vivants à la suite d’avortements. Le gouvernement avait refusé d’enquêter, au motif que « l’avortement est légal au Canada » (sans aucune restriction).
Vianney
Que deviennent les enfants qui survivent plus de 3 heures ?
PascaleBrebis
M-O-N-S-T-R-U-E-U-X ! Qui, mon Dieu, peut donc faire ça? On dirait un compte-rendu du Dr Mengele.
Biem
Il faut appeler un chat un chat : « dilatation et évacuation » = on découpe le fœtus en morceaux et on recompte le puzzle pour voir si tout y est.