Lu dans Sed Contra :
"Sur les dégradations de notre environnement, tout le monde admet la responsabilité des industries humaines qui sacrifient l’éthique au rendement : les revendications justifiées de “l’écologie” – quand elles ne nous entraînent pas à céder aux dogmes du malthusianisme – ne constituent rien d’autre qu’un plaidoyer en défense des interactions et des lois naturelles qui régissent sur notre planète les équilibres du vivant. […]
Pourquoi le domaine de la culture, des mœurs et des choix de vie serait-il le seul à échapper aux sanctions de ses propres lois naturelles ? Les politiques qui s’engagent aujourd’hui sous les drapeaux du “développement durable” et de la “moralisation des activités financières” sont-ils conscients que la destruction de la famille, de l’éducation, du langage, reste infiniment plus lourde de conséquences pour l’humanité entière que celle des comptes en banque et des forêts ?"
Zairois
La réflexion est juste mais inaboutie. Cette destruction de la famille a aussi des conséquences sur l’environnement. Une mentalité de consommateur en matière de contraception par exemple , détachée du droit naturel, a une conséquence évidente sur l’environnement. Cf pollution des eaux par les hormones artificielles inaltérables, et conséquences sur l’homme mais aussi toute la faune… Les gens bien dans leur peau ne sont pas destructeurs de l’environnement. Bien dans sa peau, bien avec sa planète..