Traduction :
- On s’abstient de montrer l’échographie aux femmes ; elles verraient les détails, le cœur qui bat, et ne voudraient plus
- C’est assez particulier… J’ai été formé à soutenir la vie, et là je la détruis;
- Ici on dit : petite anomalie cardiaque à votre bébé mais il ira bien ; là, on lui dit : anomalie, mais comme on va le supprimer…
- Dans ce qui sortait, il y avait le fétus qui se débattait… Il faut quelqu’un pour faire cet acte, et c’est à nous que ça incombe.
- Il ne faut pas dire aux femmes que le fétus a de la douleur. Ça leur en causerait, à elles.
- Avec l’usage de forceps pour des avortements, on abîme souvent l’utérus, malgré les dénégations.
- J’ai changé de clinique, pour ne plus avoir à participer à des avortements et voir ces petits corps.
- Je suis contente d’avoir promu l’avortement. J’aurais eu sinon une carrière très ennuyeuse (sic : Jane Hodgson).
- Toutes les femmes qui avortent un sentiment pénible (pas forcément de la honte) qui peut durer des années.
- Au-delà de 20 semaines, c’est déjà un enfant ; mais la question prioritaire est : à qui appartient cet enfant ? À la mère.
- Nous savons qu’avorter c’est tuer, mais l’État nous permet de tuer dans certaines circonstances.