C'est ce que pense le vice-président du Front national, Louis Aliot, suite à l'imbroglio entre Jean-François Copé et François Fillon :
"Disons que c'est un scénario qui ne nous est pas désagréable (…) Beaucoup d'adhérents de l'UMP, devant ce spectacle, en tireront les conclusions et rompront avec leur ancienne famille pour se battre à nos côtés".
Selon lui, au-delà du côté "hallucinant" de la bataille, l'issue serrée du scrutin et le résultat de Jean-François Copé, meilleur que prévu, "confirme le déplacement du curseur de la vie politique à droite".
Mû de Jamir
A ceci près que Copé “s’est mis” par défaut un peu plus à droite car le penchant vers le centre était déjà incarné par Fillon. Ne pas se leurrer non plus.
Olivier M
Louis Aliot n’a pas tort: Sarkozy l’avait bien compris, lui qui a effectué un virage à droite toute quelques semaines avant l’élection présidentielle, regagnant d’un coup des millions d’électeurs. Mais son bilan de 5 ans contredisant catégoriquement ses propos de la 25e heure, il n’aura pas convaincu.
De tout temps, la France est restée à 60% à droite.
D’ailleurs, il suffit de compter: avec le FN, c’est bien le cas; sans le FN, la droite devient en revanche minoritaire et retombe à 40%…
Fort à parier que l’UMP, ce “machin” monté par Chirac puis Sarko, est à l’agonie et va s’exploser tout seul.
Tant mieux.
dragases
Curseur un peu plus à droite,et la France dans tout cela?
trahoir
C’est un remake de la 3ème république finissante ?
Il faut dire que ces eurofédéralistes disent chaque jour incidemment économiquement “je souhaite la victoire de l’Allemagne”.