Lu dans Minute :
"Après la compagnie espagnole Spanair, c’était au tour de son homologue hongrois Malév de déposer le bilan le 3 février. Le ralentissement économique et l’explosion du prix de l’essence ont eu raison de la compagnie fondée en 1946. D’ici quelques jours, le rapatriement des avions possédés en leasing et le remplacement des liaisons assurées par Malév devrait faire disparaître toute trace de 66 années d’activités. A l’exception, bien sûr, des milliers d’employés qui restent sur le carreau. Lors de l’émission hebdomadaire auquel il participe sur Kossuth Radio, le premier ministre hongrois Viktor Orbán a déclaré que « l’Union Européenne a enfoncé le dernier clou du cercueil de Malév », faisant référence à la logique ultra-libérale de Bruxelles qui a interdit au gouvernement hongrois d’aider financièrement la compagnie."
Bernard S
On n’a le droit de renflouer que les banques…