QUAND LA CENSURE DEVIENT DICTATURE
Chers amis,
Le Centre Malesherbes, dépendant de l’université Paris Sorbonne, vient de nous notifier sa décision unilatérale et arbitraire de refuser notre manifestation prévue le 1er octobre dans ses locaux. Nous sommes à 9 jours de l’événement !
Alors que notre dossier de réservation était bouclé depuis juillet dernier, et que nous avions versé un important acompte, la présidence de cette administration a donc attendu le dernier moment pour revenir sur son acceptation et nous refuser l’amphithéâtre.
Il s’agit clairement d’une censure, ayant pour objectif de museler la liberté d’expression, qui peut avoir pour origine le Ministère de l’Education Nationale. Cela met en évidence, une fois de plus, la volonté du gouvernement socialiste d’imposer son idéologie totalitaire, incluant la privation des libertés fondamentales des Français. Un pas de plus vers la dictature de la pensée…
Ce matin, notre avocat a mis en demeure, par huissier, le Président de la Sorbonne pour qu’il revienne sur son refus de dernière minute. Ce dernier devait répondre avant 18h, ce qu’il n’a pas fait. Notre avocat prépare une assignation en justice : nous vous informerons évidemment de la suite de ce dossier.
Nous sommes donc contraints d’annuler un événement que nous préparons depuis juin, et qui avait pour objet important d’éclairer les électeurs sur la primaire des Républicains. Nous le regrettons, bien évidemment.
Le 1er octobre au plus tard, nous lancerons une communication massive sur les positions des divers candidats à la primaire des Républicains, ce que l'administration ou le pouvoir socialiste voulaient manifestement nous empêcher de faire : ils ont voulu nous faire taire, ils obtiendront l’effet inverse ! Envers et contre tout, nous continuons notre mission, et reviendrons donc très rapidement vers vous.
Nous vous remercions pour votre compréhension.
Bien cordialement.
Guillaume de Thieulloy François Billot de Lochner
Salon Beige Liberté politique