Pendant que les médias du service public faisaient semblant de déplorer, du bout des lèvres, « la mort de l’activiste d’extrême-droite », expliquant doctement qu’après tout il l’avait bien cherché, une femme pleurait la mort de son mari et père de ses deux enfants de 3 ans et 15 mois.
En ce jour, nous pouvons, enfin, en toute confiance et liberté affirmer : « Je suis Charlie » conjugué à « God bless America ».