Alliance citoyenne est cette officine grenobloise qui a milité en faveur du burkini. L’association, qui se se fait le chantre de toutes les marottes islamo-gauchistes (défense du hidjab, promotion du burkini, lutte contre l’islamophobie d’État), est née en 2012 à Grenoble. S’inspirant de la méthode du “community organizing”, tout droit importée des États-Unis, les militants d’Alliance citoyenne prônent la “désobéissance civile” pour faire valoir leurs intérêts face aux institutions publiques.
À l’été 2019, des militantes vêtues de burkini s’introduisent dans deux piscines grenobloises. Les activistes protestent contre le règlement intérieur bannissant leur tenue islamique, symbole d’un « climat islamophobe » en France. Des actions d’agit-prop soutenues par le collectif néoféministe #NousToutes, fidèle à sa logique intersectionnelle. Les justicières fustigent un règlement « discriminant et sexiste » qui renforcerait de facto « la stigmatisation des femmes musulmanes ». Une ligne communautariste pro-islam impulsée par Adrien Roux, directeur omnipotent d’Alliance citoyenne, qui aura réussi à phagocyter l’entourage du maire en quelques mois. L’organisation s’entoure de militants au pedigree sulfureux, dont une certaine Taous Hammouti. « N’oubliez jamais que c’est Charlie qui a dégainé le premier. » Voici le message que postait l’activiste sur Facebook en 2015, deux jours après l’attentat terroriste contre Charlie Hebdo.
Alliance citoyenne revendique aujourd’hui 10 000 membres. Derrière ses revendications, Alliance citoyenne dissimule une arrière-boutique moins rutilante. En 2019, le Parisien révèle que l’organisation se livre à du listing ethnique. Outre ses méthodes, le financement de l’association interpelle. En plus de percevoir des milliers d’euros de la mairie, qui refuse de dévoiler le montant exact, Alliance citoyenne touche en 2016 près de 80 000 euros de George Soros. Les Open Society Foundations souhaitent « transformer » Alliance citoyenne en une « organisation nationale avec une visibilité nationale ». George Soros réitère son soutien économique à l’association deux ans plus tard, en 2018, lui octroyant une manne de 90 000 euros pour encourager les « mobilisations contre le racisme et les discriminations ». Parmi les soutiens, on retrouve également… la Commission européenne pour 60 000 euros, au nom de la défense des minorités.
D'Haussy
Quelle surprise !
http://www.google.fr/search?q=Et+derri%C3%A8re+le+juif&prmd=inv&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwj98oDyo4D4AhXM0YUKHR5cAG8Q_AUoAXoECAIQAQ&biw=360&bih=680&dpr=3#imgrc=zXjsWuTYN6PzWM
sivolc
D’Haussy quel est le sens de votre commentaire douteux ? Dans le domaine que vous évoquez toute ambiguïté peut avoir des conséquences criminelles.
Meltoisan
Il va falloir comme au début du XXe siècle, comme dans les années 30, se méfier du parti de l’étranger si l’on veut éviter le pire.
Il n’y a pas que la Russie, les USA, la Chine ou la Corée du Nord et les pays islamiques qui posent problème; du moins, ces problèmes-là on les connaît et on peut anticiper.
Il y a aussi ceux qui avancent caché comme “l’open society, l’UE, Davos, …” qui ne veulent pas que du bien aux peuples de l’ancienne Europe qui ne demandent qu’à vivre libre avec la magnifique culture qu’ils ont créée à travers les siècles et suscitent tant de jalousie chez les déconstructeurs, fussent-ils ministres.
Gaudete
Il ne resterait pas une petite dose de rivotryl pour le voyou soros?
F. JACQUEL
Ces sponsors nous garantissent un arrêt favorable du Conseil d’État.