Suite au courrier des prélats australiens catholiques, anglicans et orthodoxes dénonçant un projet de vaccin développé à partir d’une lignée cellulaire prélevée sur un fœtus avorté, le médecin en chef adjoint, le Dr Nick Coatsworth, a minimisé ces préoccupations.
Mais Robert Booy, professeur de vaccinologie à l’Université de Sydney, a révélé que les vaccins avaient été développés avec des lignées cellulaires de fœtus avortés au cours des 50 dernières années. Il a déclaré à Guardian Australia que les vaccins contre la rubéole, l’hépatite A et la varicelle utilisaient tous la même méthode de développement.
Here is the letter to the PM from Sydney’s Catholic and Anglican Archbishops and the leader of Australia’s Greek Orthodox. They are at pains to say they’re not anti-vaccines. @9NewsAUS pic.twitter.com/BH70A6RT4x
— Chris O’Keefe (@cokeefe9) August 24, 2020