Demain samedi, à Alençon. Une pratique désapprouvée par l’Église, et interdite par la loi.
La majorité des reliques sont vendues avec leur certificat et le cachet de l’évêque de l’époque.
Demain samedi, à Alençon. Une pratique désapprouvée par l’Église, et interdite par la loi.
La majorité des reliques sont vendues avec leur certificat et le cachet de l’évêque de l’époque.
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Denis Merlin
Au musée arlaten à Arles, des reliques sont exposées comme pièces de musée, alors que ce sont des morceaux de corps humains ayant appartenu à des saints et devraient en conséquence être vénérées et non toisés par le public.
David
Le commissaire-priseur va t il accepter de vendre des reliques d’Hitler, F Mitterrand, etc…aux enchères ?
c
Alors si c’est interdit pas la loi pourquoi cela a lieu? Et pourquoi ce n’est pas conserver dans une salle à l’évêché de Séez ou ces restes enterrés dans un ossuaire spécifique à l’intérieur de la cathédrale de Sées. C’est ahurissant!
Exupéry
Parmi ceux qui les ont bradées, combien de malheureux prêtres déstabilisés par le vent de sécularisation des années 60-70…?
“Des os de mouton objets de superstitions d’un autre âge” affirmaient certains.
btk
quelle preuve que ce soient des ‘integristes’ interesses a redonner leur destination aux reliques ???
cela signifie-t-il que les ‘non-integristes’ s’en fichent allegrement ???
les journalistes devraient s’en tenir a des faits, plutot qu’a des commentaires personnels
Sawyer
Surtout que dans ce type de ventes de nombreux marchands peuvent être interessés.
Il y a quand même un marché pour les objets d’art religieux.
personne
De fait, par expérience, il y a plusieurs types d’acheteurs dans ces ventes :
– grands marchands de reliques, principalement américains
– des farfelus voire des anti-calotins (genre artiste qui va utiliser la relique dans son “oeuvre”)
– des cathos, souvent proches des tradis, qui tentent de sauver ce qu’ils peuvent
– quelques curieux
Et ce n’est en rien interdit par la loi, sinon il n’y en aurait pas régulièrement
Tintoun
Que faire ?
Allô ? Le Salon Beige ?
azerretyu
Il faut voir deux choses :
-souvent, ce sont des communautés religieuses qui vendent …
-si ces ventes étaient interdites, les reliques seraient jetées à la poubelle…
Donc : laissons faire ces ventes, et achetons !
C’est comme le marché aux esclaves : c’est immoral, mais cela a permis aux religieux Trinitaires, durant des siècles, de racheter les esclaves chrétiens pour les libérer et les ramener en Europe !
savary
Les ornements et objets liturgiques relégués dans les oubliettes du concile font le bonheur des communautées tradies et tant mieux.Le problème des reliques est épineux ,ne serait-ce pas une bonne oeuvre de les racheter pour les protéger et les vénérer ? Si la vente est interdite pourquoi les autorités ecclesiastiques n’interviennent-elles pas ???Et enfin évidemment de quelle façon ces reliques sont elles arrivée sur le marché ?Qui les possédait et s’en est débarrassé ??????????Et fait mine maintenant de s’outrager ???
Christian
Que tous ceux qui en ont les moyens achètent et les vénèrent! Ces reliques sont notre trésor!
Jean Theis
Il faut des reliques sur chaque autel. Quand une nouvelle église est construite, je ne sais où le clergé s’approvisionne. Ce qu’on peut se demander c’est si tous les petits autels aménagés après le Concile afin de permettre la célébration des messes dos à Dieu, ont bien ces reliques ? Les autels portables des prêtres qui voyagent en avaient jadis.
L’esprit est-il toujours de les considérer comme “des superstitions d’un autre âge”.
D’un autre côté on est horrifié d’apprendre comment le corps de Ste Thérèse d’Avila a été dépecé dès sa mort pour fournir tous les demandeurs.
maillefer
Vivement le Fin des temps, quand même, hein…j’aurais du me faire franciscain, moi…
REMOND
je connais Maître Biget , il ne fait pas ces ventes par but purement lucratif , mais pour sauver ces objets , et ceux sont souvent des communautés religieuse en voie de disparition qui lui donnent à vendre ,ou des particuliers vendant leur propriété qui avait une chapelle (Alençon est dans l’ouest autrefois Catholique)