On aurait pu croire que les multiples réformes devaient garantir une réduction des inégalités, que l'école devait apporter les solutions pour lisser les différences afin que chaque élève ait ses chances, et on s'aperçoit que c'est exactement le contraire qui se produit. Dans le cadre des "ELCO" (Enseignement de langue et culture d'origine), une école du Val d'Oise (et elle n'est peut-être pas la seule) organise dans ses locaux des cours d'arabe, financés par "des ambassades" (lesquelles ?), un "partenariat" avec l'Education nationale. (cliquer sur les images pour les agrandir).
"L’enseignement de ces langues, par des professeurs étrangers, résulte d’accords bilatéraux appuyés sur une directive européenne de 1977, selon laquelle les Etats membres de l’UE doivent prendre des dispositions pour promouvoir la langue maternelle du pays d’origine en faveur des enfants d’immigrés. Neuf pays sont concernés actuellement : Algérie, Croatie, Espagne, Italie, Maroc, Portugal, Serbie, Tunisie et Turquie. Si ces cours sont optionnels, à partir du CE1, l’Education nationale indique envisager de transformer les cours d’ELCO en cours de langue vivante dispensés sur le temps scolaire."
Soit, arabe pour tous dès le primaire au lieu du français pour tous. Car ne nous leurrons pas, s'ils sont optionnels pour le moment, ces cours pourraient vite devenir obligatoires, au même titre que l'anglais, actuellement dispensé à nos enfants dès les petites classes. D'autre part, l'enseignement de l'arabe est indissociable de l'enseignement de l'islam :
" Une ancienne inspectrice confie à Télérama « avoir vu des versets du Coran dans des cahiers de CE2, ou des enseignants inscrire au tableau la date de l'hégire, le calendrier musulman ! »[…]
Selon le rapport [un rapport du Haut Conseil à l’intégration de 2009], certains vont même jusqu’à craindre que ces ELCO ne deviennent des « catéchismes islamiques ». Pour Bernard Godard, ancien spécialiste de l’islam au ministère de l’Intérieur, les ELCO « ont eu pour effet pervers l'absence de développement d'un enseignement franco-français ».[…]
Alors que le Haut Conseil à l’intégration n’a cessé de recommander leur suppression, les ELCO ont été maintenus et s’ouvrent même à un plus large public. A l’origine destinés aux enfants dont l’un des parents possède ou a possédé la nationalité en question, ces cours se sont ouverts à tous les enfants, en raison de l’érosion des effectifs."
On aimerait bien savoir quels pays, par le biais de leurs ambassades, pratiquent ce genre d'ingérence dans "l'école de la république" avec l'accord de nos dirigeants.
ODE
Vous rigolez, l’enseignement du français ça n’existe plus. Fin CM2, les élèves connaissent tout juste les temps simples de l’indicatif.
En 2d, certaines copies sont illisibles tant elles sont mal écrites.
Par contre ils savent que l’écologie, c’est bien, et que le gaspillage, c’est mal.
Et que parler anglais c’est important.
sophie
“une directive européenne de 1977”
La France n’étant plus un pays souverain, elle se doit d’obéir aux directives européennes !
En cas de désaccord, la seule solution qui reste est de quitter cette U.E. !
Comment ? En votant pour un parti qui non seulement le souhaite mais le fera !
Irishman
En fin de compte, je présente mes excuses à Oh, ces cours d’arabe à l’école ne sont pas une bonne chose… Mais l’apprendre pour soi peut-être utile ! Il est bon de connaître la langue de ceux qui se posent en ennemis…
Bien évidement, je parle des arabophones mahométans, pas les arabophones chrétiens, qui ont, soi dit en passant, 4 ou 5 siècles d’ancienneté sur les autres !
Marino
@ ODE “l’enseignement du français ça n’existe plus”….
* Des fautes d’orthographe… dans un manuel scolaire
Publié par les éditions Magnard, Mon Cahier de Français 4e conjugue le verbe voir au passé simple de la façon suivante : “Je vus”, “tu vus”, “il vut”…
Une bourde monumentale. Le manuel intitulé “Mon Cahier de Français 4e” propose une conjugaison plutôt originale – et surtout erronée – du verbe voir au passé simple.
Laurence Benichou, directrice des relations scolaires de Magnard, n’arrive cependant pas à expliquer ces fautes énormes et impardonnables pour un manuel scolaire, expliquant qu’« il y a les professeurs qui sont là pour corriger ».
De son côté le ministère de l’Education nationale explique que les fautes sont la responsabilité de l’éditeur.
Kazar
La préférence au communautarisme.
Autre exemple :
http://www.fdesouche.com/658405-alain-minc-il-faut-suspendre-la-loi-1905-pour-les-musulmans
jpr
Comment voulez-vous que les enfants apprennent le coran par cœur si on ne leur enseigne pas l’arabe ?
lève-toi
Le premier mot à apprendre ( au fond le seul) c’est AMCHI .
DUPORT
Ceci est la preuve qu’on ne cherche pas du tout à les intégrer !