Un collectif d’élus locaux nous prie de publier cette tribune:
Nous, élus locaux, sommes interpellés par nos concitoyens privés de soins. Elus pour servir nos administrés, nous ne pouvons nous taire face à leur désarroi grandissant.
Nous déplorons que depuis plusieurs mois, des médecins, des soignants, beaucoup de personnels médico-sociaux, soient suspendus de leurs fonctions, soient mis à l’écart comme des « malpropres » alors qu’ils sont, pour la plupart, irréprochables dans leurs fonctions.
Et suspendus pour quoi ? Pour avoir choisi librement de refuser une thérapie génique, un traitement encore expérimental, qui donne beaucoup d’interrogations quant à son efficacité et au rapport bénéfice/risque de chacun. Inutile d’en rajouter sur ce sujet.
Que fait-on de l’objection de conscience de ces citoyens ?
Que fait-on des lois qui promeuvent le libre consentement de tout acte médical, surtout face à un traitement expérimental ?
Nous avons le devoir de réagir, d’alerter. Cette situation intenable ne peut plus durer. C’est du jamais vu dans l’Histoire de notre Pays ! Tout ce que nous avons accompli en faveur de l’accès aux soins se retrouve gravement menacé par des décisions politiques qui interdisent l’accès aux soins à des citoyens qui cotisent comme les autres pour financer la Sécurité Sociale.
Nous avons des responsabilités auprès de nos concitoyens. Beaucoup sont dépourvus de soins. On manque cruellement de soignants. On a un véritable problème de santé publique et de désertification médicale, nous le savons tous.
La colère et l’indignation montent chez les patients qui ne trouvent plus de médecins, qui n’arrivent plus à se soigner correctement. Ils se sentent pris en otage, oubliés, « suspendus » eux aussi. Et la situation empire…
Nous ne comprenons pas que le respect de la loi et la sanction soient devenus plus importants que le problème de santé globale. L’ARS n’a pas anticipé, ni cherché de solutions. Le remplacement des médecins est même interdit.
- Nous demandons expressément au Gouvernement de retirer le décret du 5 août 2021, notamment en abrogeant cette obligation vaccinale qui met en tension notre société et met en péril tout le tissu médico-social. Nous demandons que les citoyens bénéficient des soins des soignants quel que soit le statut vaccinal de ceux-ci.
- Nous demandons le soutien et l’appui de nos Sénateurs, de nos Députés, de nos Maires, Adjoints et Conseillers municipaux, afin que ces revendications soient entendues et comprises. Qu’ils nous rejoignent dans cette juste cause.
- Nous demandons à l’Agence Régionale de Santé de réintégrer au plus vite ces médecins, ces soignants et tout le personnel médico-social. Nous avons besoin de toutes les forces nécessaires pour soigner et porter secours à la population en détresse.
Catherine Joubert, conseillère municipale, Betz le Château,
Béatrice Arnault, conseillère municipale, Betz le Château,
Delphine Vial, 2nd adjointe, Betz-le-Château,
Jean-François Chandellier, conseiller municipal, Chédigny,
Charlotte Courcoul, conseillère municipale, Beaulieu-les-Loches,
Nicolas Genvrin, conseiller municipal, Beaulieu-les-Loches,
Véronique Sefari, conseillère municipale, Esves le Moutier,
Gaëtan Raguin, conseiller municipal, Vou,
Marie-Nicole Suzanne, conseillère municipale et communautaire, Loches,
Adrien Painchault, conseiller municipal et communautaire, Loches,
Sandrine Plaza, conseillère municipale, Saint Hippolyte,
François Orsay, conseiller municipal, Noizay,
Frédéric Gervais, conseiller municipal, Vou,
Guy Coulon, 1er adjoint, Villedômain,
Thérèse Richeton, 2nd adjointe, Villedômain,
Dorothée Pérot, conseillère municipale, Preuilly sur Claise,
Jean-François Lebourg, conseiller municipal, Esvres sur Indre,
Sylvain Henon, conseiller municipal, Descartes,
Collectif d’Elus en soutien aux soignants et personnels médico-sociaux
elusoutien.soignantsuspendus@gmail.com
AFumey
Merci à ces courageux!
On est en droit de croire que leurs électeurs sauront se souvenir bientôt de leur engagement et leur soutien à leur service.
Gaudete
oui mais et c’est là que micron est de la pire espèce, éloigner les soignants qui seraient des plus utiles parce qu’ils ne veulent pas se faire injecter leur poison, les remettre au travail, mais non on les met sur latouche alors que des professeurs, des docteurs etc disent l’inverse d’un véreux et de toute la clique qui viennent faire les malins sur les plateaux télé, et ne parlons pas de ces journaleux complètement incompétents et qui se croient intelligents en répétant comme des perroquets ce que leur dictent des véreux delfrassy et salomon comme si ces trois avaient la science infuse
Chouan85
La vérité est têtue. Elle va revenir comme un boomerang sur leurs têtes corrompues et emplies d’orgueil.
Biem
Il faut préserver aux mots leur véritable sens, et appeler un chat un chat.
Ce n’est pas “une thérapie génique”, le soi-disant vaccin n’a rien qui permette de *guérir* d’une maladie – ce qu’est thérapie digne de ce nom. Le traitement est donné à des bien-portants, pour soi-disant les prémunir (mal) contre une éventuelle maladie (de plus en plus bénigne).
Et le “traitement” infligé à ces martyrs dociles est de déclencher une réaction auto-immune : le système immunitaire attaque et détruit les cellules qui auront répondu au message transmis par l’ARNm inoculé. Créant au passage des micro-thromboses, qui parfois dégénèrent en macro-thromboses (au fait, si vous devez y passer, prenez de l’aspirine toute la semaine, c’est un anti-coagulant qui peut de ce fait vous sauver la vie). Le variant delta a moins tué qu’une grippe saisonnière, et le “vaccin”-traitement génique, par ses effets secondaires, fait plus de morts que le virus qu’il prétend contrer.
Après, en quoi est-ce un vaccin, contre quoi est-il efficace?
Un vaccin empêche de contracter la maladie qu’il prévient, en apprenant au système immunitaire à reconnaître et détruire l’agent pathogène avant même qu’il ne puisse envahir l’organisme. Dans le cas CoViD ça ne marche pas, parce que l’infection passe par les voies respiratoires : une inoculation intramusculaire “induit principalement des anticorps IgG circulatoires et, potentiellement, des cellules T cytotoxiques”, donc ne peut intervenir qu’après que le virus ait franchi avec succès la barrière des muqueuses (voir Système immunitaire des muqueuses – Wikipédia) – donc trop tard.
En outre, chercher un vaccin contre un virus à ARN est voué à un succès nécessairement mitigé, vu que ces virus mutent sans arrêt : le “vaccin” est toujours celui de la dernière souche, en retard d’une guerre sur la prochaine bataille.
Imaginer une immunité collective à 80% acquise par une politique vaccinale est du doux délire.
On nous dit que c’est de la désinformation, que le traitement génique est connu et pratiqué depuis des années? Ah, mais vous n’avez pas lu les petits caractères. Le traitement est certes utilisé sur des maladies génétiques, expérimentalement, pour apprendre à des cellules déficientes à produire une protéine qu’elles devraient normalement produire – donc pour faire vivre ces cellules, avec des protéines nécessaires à l’organisme. Ici on utilise cette même technique pour imposer aux cellules la production de corps étranger, toxiques par eux-mêmes, et qui déclenchent une réaction auto-immune.
Ça, ça n’a jamais été testé. D’ici vingt ans on saura quels dégâts ça fait réellement.