La police politique, cela ne se passe ni en Russie, ni en Pologne, ni en Hongrie, ni, ni, ni…, mais bien en France sous Macron :
Réprimés à coups de Flashball, bientôt interdits de manifestations, les « gilets jaunes » sont désormais… sur écoute. C’est ce que révèle Le Point, ce jeudi 7 février, dans ses indiscrets. Au total, une centaine de « gilets jaunes » en province et une cinquantaine à Paris et en petite couronne ont été placés sur écoute téléphonique ou sous « espionnage » Internet, précise le journal.
On apprend également que le Service central du renseignement territorial et la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP) « multiplient les demandes d’autorisation auprès de la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR). » Un ex-collègue de la patronne de la DRPP au renseignement rapporte même qu’elle « a fait toute sa carrière en suivant les extrêmes, c’est dire si elle sait y faire ».
Pour justifier de ces demandes sans porter atteinte à la liberté de manifester, les deux services de renseignement invoquent la prévention des « atteintes à la forme républicaine des institutions ». Un « flic du renseignement » cité par Le Point précise : « Ce sont les mêmes justifications qu’on utilise pour procéder aux écoutes sur l’ultradroite ou l’ultragauche ».

passparla
Vous en doutiez ?
philippe paternot
les fichés GJ sont plus suivis par la police que les fichés S musulmans qui eux pratiquent le meurtre parfois à grande échelle!
la répression fait des victimes à vie, c’est honteux, le vénézuéla les inspirent!