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Homosexualité : revendication du lobby gay

Des homosexuels s’en sont pris à Jeanne d’Arc

Ces personnes sont vraiment déséquilibrées.

Et ils veulent se marier et avoir des enfants ?

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9 commentaires

  1. La statue de Jeanne est restée de marbre devant cette bouffonnerie!
    On se demande même s’il y a vraiment un outrage ici!
    “Happening” avez-vous dit?
    Une volée de zoziaux honteuse qui s’envole aussi vite qu’elle n’était arrivée, je n’appelle pas ça un happening. Il faut du monde à choquer
    Ici, il n’y a pas un passant pour les observer.
    Les militants sont les seuls témoins de leur ridicule prestation.
    C’est tellement c*n qu’on ne sait s’il faut en pleurer tellement c’est pathétique ou bien en rire tellement leur pantomime n’arrive même pas au niveau d’un spectacle de fin d’année de cours préparatoire (et pas des hautes écoles)!
    le plus grand service finalement c’est de diffuser largement cette vidéo!
    Il faudrait même qu’on l’archive avant qu’elle soit retirée par leur soin.
    Si le ridicule tuait encore, les média viendraient nous condamner sous l’accusation d’avoir ri !

  2. Déséquilibrés en effet : ils veulent qu’on les disent mariés et avoir les enfants des autres.

  3. En suivant le lien
    “Pour rappel, l’Egide, une structure régionale qui regroupe 24 associations « lesbiennes, gay, bi et trans » du Nord-Pas de Calais, déclarait il y a quelques jours soupçonner « une action menée par l’extrême-droite en vue de les discréditer ».”
    Les passants qui avaient reçu l’information qu’il s’agissait d’un “projet d’arts plastiques” étaient plus près de la réalité (?)

  4. Et qu’en pense maintenant l’Egide, la structure régionale qui regroupe 24 associations « lesbiennes, gay, bi et trans » du Nord-Pas de Calais, et qui déclarait il y a quelques jours soupçonner « une action menée par l’extrême-droite en vue de les discréditer » ?

  5. Tout-à fait emblématique de ce genre d’individus et bien revendiqué sur le site “urbanporn.org” qu’ils animent.
    Oui cette vidéo est à archiver comme exemple de “culture homo”, de plus elle illustre parfaitement cette remarque désabusée (pour en avoir trop abusé) de l’auteur de la préface de “L’amant de Lady Chaterley”, qui concédait sur la fin de sa vie “l’érotisme c’est l’humiliation” (André Malraux)

  6. Déséquilibré(e)s c’est le mot juste. Les démons sont de sortie !

  7. Les termes utilisés me gênent. Pour nous catholiques, l’homosexualité est un péché, pas une maladie.
    Je travaille avec des homo, j’ai des copains homo. Ils ne sont absolument pas des déséquilibrés. Des pécheurs oui, comme moi. Que certains militants soient exécrables dans leurs excès, aucun doute, d’ailleurs la majorité des homo est excédé d’être représenté par ces “folles” et ces “excités”.
    J’aurai préféré que le titre soit “Des MILITANTS homosexuels s’en sont pris à Jeanne d’Arc”.
    Nous devons à tout homme, quel qu’il soit, pécheur ou pas (mais qui ne l’est pas) à la charité fraternelle : elle passe aussi par les termes qu’on emploie pour leur parler ou en parler.
    Comment un homo peut-il accueillir le message du Christ – que nous avons devoir de porter – si nous parlons d’eux en termes dégradants ?
    (“La mesure dont vous vous servez servira aussi pour vous.”)
    [Ce n’est pas ce que dit l’Eglise : l’homosexualité n’est pas un péché, contrairement aux actes homosexuels. Il me semble que l’homosexualité est un déséquilibre psychique qui s’explique cliniquement, comme le dit Tony Anatrella, ce qui en fait une maladie (contrairement à l’acte homosexuel, qui est un péché) :
    “Cliniquement on constate au moins trois formes d’homosexualité parmi d’autres :
    1) Une homosexualité accidentelle peut se présenter lors de l’enfance ou de l’adolescence à travers quelques expériences passagères mais qui n’engagent pas le désir du sujet. Il a pu être entraîné ou il s’est livré, par curiosité, à quelques gestes, comme pour s’assurer de sa masculinité ou de sa féminité, trouvant de nombreux intérêts psychologiques à vivre ainsi. Certaines personnes se libèrent sans que ces expériences ne produisent des effets néfastes alors que d’autres, plus fragiles dans leur identité, s’inquiètent sur ce vécu et ont besoin d’être aidées pour le traiter.
    2) Une homosexualité réactionnelle qui fait échos à divers problèmes psychiques qui n’apparaissent pas pour eux-mêmes : une fixation maternelle, une contre identification paternelle, un self fragile qui rend timide et impuissant à l’égard de l’autre sexe, l’autosuffisance identitaire etc. Ce sont autant de questions qui peuvent être abordées et souvent dépassées grâce à un travail sur soi en psychothérapie. De nombreuses personnes arrivent en consultation en croyant qu’elles sont homosexuelles, tout en le refusant, et découvrent en le dénouant que leur problème est ailleurs.
    3) Une homosexualité structurelle qui se met en place précocement et donne l’impression au sujet qu’il est né ainsi alors que la tendance, par exemple, a pu se fixer lors du stade du miroir entre six et dix-huit mois. Il découvre son image à travers le regard de l’autre, et en particulier de sa mère, et peut s’y arrêter en cherchant des personnes à son image. Certains sujets vont plus ou moins l’accepter pendant que d’autres en souffrent et regrettent de ne pas pouvoir rejoindre intimement les personnes de l’autre sexe. Cette fixation narcissique donne parfois des personnalités très imbues d’elles-mêmes, revendicatives et qui ont du mal à s’interroger et à se remettre en question. Elles se vivent comme la victime d’autrui et de la société et cherchent éperdument la reconnaissance des autres parfois jusqu’à la violence. Dans ce contexte, la tendance homosexuelle est souvent irréversible.
    […]
    La situation peut être évaluée en psychothérapie pour en connaître les enjeux et les défenses qui se manifestent ainsi.
    L’homosexualité est le résultat d’un complexe psychologique et d’un inachèvement de la sexualité qui ne s’achemine pas vers l’hétérosexualité. Ce défaut de maturité produit des effets et des caractéristiques qui sont le propre des personnalités homosexuelles. Il n’est donc pas pertinent de laisser entendre que l’homosexualité est une autre alternative de la sexualité humaine qui serait à égalité avec l’hétérosexualité alors que les structures psychiques en jeu ne sont pas les mêmes.
    Le DSM IV, Manuel de critères diagnostiques proposé par l’American Psychiatric Association, définit l’homosexualité comme « un trouble de l’identité de genre ». L’homosexualité est psychologiquement problématique car elle est en contradiction avec l’identité sexuelle. Freud conçoit l’homosexualité comme une « perversion », c’est-à-dire une fixation à des buts sexuels primitifs ou passagers. Le psychanalyste Ferenczi, contemporain de Freud, a une autre approche de l’homosexualité issue elle aussi de son travail clinique. Il parle, entre autres, de « l’homoérotisme d’objet » qui est un des effets d’une névrose obsessionnelle et de « l’homoérotisme de sujet » fondé sur le déni de l’identité sexuelle. Nous ne développerons pas davantage toute la littérature psychanalytique et psychiatrique qui existe à ce sujet et que l’on voudrait, aujourd’hui, rayer d’un trait de plume.
    http://www.inxl6.org/article1667.php
    MJ]

  8. ok, c’est une maladie. Alors parlons des homosexuels avec la compassion qui sied à tout catholique parlant d’un malade.
    Et une question me vient : une personne pèche-t-elle quand c’est sa maladie qui la conduit à faire un péché ?
    [Si sa maladie lui empêche de poser un acte libre, elle ne pèche pas. Malheureusement, la succession d’actes libres mauvais entraîne à l’enchainement au péché et réduit la liberté à quasi-néant. C’est l’esclavage du péché (prenez le cas du drogué qui ne réussit plus à en sortir).
    MJ]

  9. Olivier Saumur,
    “…d’ailleurs la majorité des homo est excédé d’être représenté par ces “folles” et ces “excités”.
    QU’ELLE LE DISE !

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